Les Portes du soleil : une honte chaudement soutenue par Libération et Arte
« Un homme averti en vaut deux », dit-on. J’avais bien assimilé cette maxime et pensé que cela valait également pour une femme. Donc, fermement mise en garde, j’ai pensé jeter « un oeil » prudent, sur ce fichu film. Un oeil, juste un, cela ne devrait pas, croyais-je, provoquer une décharge trop brutale d’adrénaline.
Grave erreur !
Je n’avais pas pensé à baisser le son. ET voilà le résultat.
Ce n’est pas un oeil, mais les deux yeux, grands ouverts, éberluée par l’annonce initiale, m’avertissant de la recommandation particulière qu’Arte et Libération apportaient à ce film, que j’ai planté sur l’écran qui déversait les abominations dont se seraient rendus coupables les Juifs à l’encontre des pauvres palestiniens présentés comme de braves gens, ne pensant qu’à la fête, à cultiver les champs de la Palestine etc, etc, (...)
Article mis en ligne le 8 octobre 2004