Cette communauté jusqu’ici florissante, contrainte de fuir la guerre, dénonce les accusations de « nazisme » derrière lesquelles s’abrite Poutine.
Éclairée aux néons, la quinzaine d’hommes est rassemblée dans la yeshiva de la synagogue Rozenberg de Kiev. Certains portent le beketsche, le pardessus noir des ultraorthodoxes, d’autres, moins religieux, sont simplement coiffés de kippas. Une femme est assise dans une pièce attenante. Ce sont les derniers juifs du quartier de Podil, dans le centre de la capitale ukrainienne, rassemblés pour la prière de shabbat en ce vendredi, au seizième jour de la guerre déclenchée par Vladimir Poutine contre l’Ukraine
À Kiev, les derniers juifs prient pour que l’Ukraine soit sauvée : le récit de l’envoyé spécial du Figaro en Ukraine
Le Figaro.fr
Article mis en ligne le 13 mars 2022