Les ex-membres de l’ALS refusent de parler des représailles, mais ces jeunes Libano-Israéliens croient de leur devoir de dire la vérité sur le Hezbollah
Une semaine après l’assassinat d’Hassan Nasrallah, Maryam Younnes, 29 ans, chrétienne maronite et fille d’un ancien commandant de l’Armée du Sud-Liban, disait que l’assassinat du chef du Hezbollah était « la chance dont nous avions toujours rêvé mais que nous ne croyions pas possible ».
La jeune génération, qui a grandi en Israël, est prête à parler publiquement de l’assassinat de Nasrallah, mais leurs aînés – les hommes qui ont combattu pour l’ALS ou ceux qui ont de la famille proche au Liban – sont plus réticents à s’exprimer.
Pour la deuxième génération de l’Armée du Sud-Liban, la mort de Nasrallah est un « espoir »
Times of Israel en français - DIANA BLETTER
Article mis en ligne le 14 octobre 2024