La dissolution de l’Assemblée Nationale devait clarifier la situation politique française. On admettra qu’elle n’y est pas parvenue.
Au cours de cette même semaine, c’est la Grande Bretagne qui voit son horizon éclairci après la large victoire d’un social-démocrate, Keir Starmer.
C’est l’homme qui a purgé le Parti Travailliste de l’influence néfaste de Jeremy Corbyn, largement accusé d’antisémitisme. Ce dernier avait un défenseur français. Il s’appelait Jean Luc Melenchon et il a attribué aux réseaux sionistes la défaite de Corbyn à qui il a reproché de s’être excusé devant des accusations d’antisémitisme qu’il a qualifiées de grossières. Lui, jamais il ne céderait devant les “ukases arrogantes du Crif”. C’était en 2019 et Mélenchon avait révélé son antisémitisme, son obsession du Crif et une de ses règles d’or : “ne jamais s’excuser”.
Mélenchon rêve d’un 3ème tour dans la rue. Par Richard Prasquier
Tribune Juive
Article mis en ligne le 12 juillet 2024