De Sever Plocker (Ynet) à Barry Rubin (IDC Herzlyia/ ICI) jusqu’à Herb Keinon (Jerusalem Post), en passant par Jennifer Rubin (Commentary) ou le New York Times, la vaste majorité des observateurs du Moyen-Orient accorde ses violons sur une note claire comme le crystal : Les fameuses « révélations  » de Wikileaks, ce dimanche 28 novembre, hormis que leur contenu informatif tient du secret de Polichinelle, mettent fin à l’ère de l’hypocrisie, au sujet d’un Orient, finalement, pas si « compliqué  » que cela : elles font voler en éclats la fiction qu’il puisse exister un lien quelconque entre les impératifs du « processus de paix  » et la hantise arabe d’un Iran nucléaire.
Les analystes unanimes : Wikileaks signe l’enterrement d’un quelconque lien entre processus de paix et crise iranienne.
Par Marc Brzustowski. Pour © 2010 lessakele et © 2010 aschkel.info
Article mis en ligne le 1er décembre 2010