L’acceptation par le gouvernement israélien de la feuille de route du Moyen-Orient dimanche 25 mai et l’acceptation d’un état palestinien à la fin de la route - loin de lever les obstacles pour la conciliation, accentue les difficultés auxquelles il faudra faire face aux prochaines étapes.
Le rapport des sources de sécurité Américaines et Israéliennes de Debkafile signalent que Yasser Arafat pourchasse sérieusement, maintenant, le nouveau Premier ministre palestinien Mahmoud Abbas. Il fera tout pour interrompre le sommet qui doit avoir lieu au début de juin avec le Président George W. Bush et le Premier ministre Israélien Ariel Sharon.
Arafat ne peut pas supporter l’dée d’une conférence au plus haut niveau s’avançant sans lui. Le complot qu’il pense préparer, ferait accuser Israë l pour tout tort causé à Abu Mazen ou à ses associés. Il montrerait ainsi aux Palestiniens et au monde Musulman qu’il a toujours le bras long et que si quelqu’un sabote les perspectives de paix, c’est Israë l.
Prenant conscience des vents brà »lants de menaces soufflant dans Ramallah, les officiels américains s’efforcent d’être vagues et évasifs sur le sommet en discussion et pour son moment - « dans deux ou trois semaines ». Selon les sources de sécurité de Debkafile, organisant la sécurité pour Bush, Sharon et Abbas le rendez-vous probable dans le port de la Mer Rouge de la Jordanie d’Aqaba, sera un cauchemar, étant donné la proximité de la ville à la frontière irakienne et la présence d’éléments d’Al-Qaeda dans le voisinage.
Mais le mal de tête le plus fort d’entre tous, tiendra à la sécurité d’Abu Mazen jusqu’au sommet, parce que il ne va probablement pas consentir à une quelconque protection de sécurité spéciale des Américains - et certainement pas des Israéliens
.
En espérant diminuer la menace, nos sources révèlent que les Américains essayent de passer par des Européens ayant accès à Arafat. Le secrétaire d’État Américain Colin Powell a demandé au ministre des Affaires Étrangères Français Dominique de Villepin de prendre avec lui à sa visite à Arafat dans Ramallah lundi 26 mai, un dernier avertissement de Washington : arrêtez d’essayer de disqualifier ou d’éliminer Abu Mazen, si vous continuez à entraver les plans de Washington pour la région vous risquez des représailles américaines directes.
Villepin trouva Arafat occupé par un arrangement compliqué qui pourrait commencer par une attaque sur quelqu’un de proche d’Abbas ou nommé par Washington, comme avertissement au Premier ministre palestinien de s’effacer tant qu’il en est toujours temps.
Conscient de la menace, le ministre de l’Intérieur palestinien Mohamed Dahlan esquive ses devoirs dans la prévention du terrorisme en disant qu’il a besoin de beaucoup plus de temps pour obtenir une emprise sur le problème. Abu Mazen, semble pour sa part, plus effrayé de la tactique lors la rencontre au sommet que désireux d’en faire partie. Il peut même inventer une tactique de retardement, comme des demandes de gestes israéliens en plus pour prouver qu’ils sont sérieusement pour la conciliation.
Arafat est décrit, ne reculant devant rien, pour réveiller les cellules secrètes de terrorisme dormantes maintenues jusqu’à maintenant en réserve. Tous leurs membres ne sont ps Palestiniens. Elles incluent des porteurs de passeports canadiens et européens, véritables ou contrefaits, comme les deux terroristes Britanniques qui ont effectué l’attentat-suicide du 30 avril de Mike’s Place.
L’attaque, qui devait frapper l’ambassade des États Unis, a été conçue et préparée à Damas par le Hamas et des planificateurs du Hezbollah et sous tous les aspects soutenue par le Fatah et des équipes du Hamas dans la Bande de Gaza aussi bien que les Brigades de Martyrs Al-Aqsa du Fatah et des complices du Hamas sur la Rive occidentale.
Chaque phase de terrorisme enchaîne les mois passés à se préparer pour un rôle particulier. Il y a peu de doutes parmi les autorités du contre-terrorisme que les services secrets militaires syriens à Damas étaient dans la conspiration terroriste, le président syrien Bashar Assad a été mis au courant et qu’il savait que le dernier ordre pour activer l’équipe de terroristes-suicide de Tel-Aviv a été publié par Arafat à Ramallah.
Cette chaîne reliant les centres de commandement du terrorisme à Damas, le Hezbollah à Beyrouth, le Fatah et le Hamas dans la Bande de Gaza et Yasser Arafat dans son quartier général à Ramallah, présente toujours des signes peu communs d’activité.
Un signe a été l’expédition par le Hezbollah de l’expert en bombe à bord de l’Abu Hassan que la marine israélienne a intercepté dernier mercredi 20 mai, signe que la Syrie et le Hezbollah investissent d’énormes efforts pour mettre à niveau la force et l’échelle d’opérations terroristes anti-Israë l, employant chaque corps de terroriste disponible dans l’action.
Les sources de service de renseignement de Debkafile, réfutent totalement l’émission de rapports, la semaine dernière, sur la revendication de la Syrie d’avoir fermé les bureaux de Damas des groupes de terrorisme palestiniens en réponse à un sévère ultimatum américain.
Ils ont découvert que les chefs opérationnels du Jihad Islamique et du Hamas qui ont censément été expulsés à Beyrouth, au Caire et au Qatar pour jeter aux Américains de la pudre aux yeux, sont tous établis encore en Syrie.
Abdullah Salah Ramadan du Jihad, Zeid Nahla et Ibrahim Shehada, aussi bien que Mussa Abu Marzuk du Hamas et le chef des opérations Imad Al-Alami sont tous en fuite sous la protection des services secrets militaires syriens. Une source de sécurité israélienne senior a fait ces commentaires : « en ayant cette collection d’agents secrets supérieurs du terrorisme cachés et faisant des heures supplémentaires, les nouvelles ne sont bonnes pour personne. »