Ori avait 19 ans. Le 7 février dernier elle alla se promener dans une forêt de Jérusalem. Un Palestinien de 27 ans, armé d’un couteau, croisa son chemin. Elle fut sauvagement assassinée. Parce que juive. Moran avait 25 ans. Elle traversait la forêt. Cinq adolescents palestiniens l’assassinèrent sauvagement. Parce que juive. Malki avait 15 ans. Elle était dans une pizzeria de Jérusalem remplie d’enfants. Une jeune Palestinienne avait transporté la bombe qu’un Palestinien y fit exploser. Malki périt avec quinze autres personnes. Parce qu’ils étaient juifs. Paradis, gloire et salaire son promis aux assassins par l’Autorité palestinienne. Cofinancée par le contribuable français.
Elle s’appelait ORI
C’est le titre du court-métrage hommage à Ori, cette jeune fille sauvagement assassinée le 7 février dernier dans une forêt de Jérusalem, alors qu’elle sortait du centre pour jeunes en difficultés où elle effectuait son service civil. Y est dénoncée l’incitation au terrorisme de l’Autorité palestinienne, par le biais de récompenses financières non négligeables dans une société qui compte 30% de chômeurs et ce d’autant plus que ce « Salaire de la terreur  » - autre court-métrage du réalisateur Pierre Rehov, en lien aussi plus bas- est supérieur au salaire des Palestiniens qui travaillent et peut même être très important puisque calculé en fonction du nombre de victimes et de la durée de leur condamnation. Ainsi le budget de l’Autorité palestinienne pour 2018 pour ces salaires a été de quelque 350 millions de dollars… La famille des terroristes bénéficie également de cette manne financière. Y est montré aussi que les forces de l’ordre qui sont allées arrêter l’assassin à Ramallah, 24 h après son forfait, après une enquête menée rapidement -*voir l’interview d’Asher Ban Arzi - , sont violemment prises à partie par de jeunes Palestiniens prenant clairement parti pour le terroriste -preuve de la réussite de l’endoctrinement à la haine dispensé par l’Autorité palestinienne-. Ou encore comment le ministre des Affaires religieuses de l’Autorité palestinienne, qui, pour sa part, incite au terrorisme anti-juif en accusant, entre autres, de manière grotesque Israë l de vouloir détruire la mosquée Al-Aqsa, n’eut pas un mot pour la jeune fille massacrée mais s’indigna de ce que les forces de sécurité soient entrées dans une mosquée dans le cadre de leur traque de l’assassin – caché dans un immeuble voisin-.
Abbas comme cet imam, a mille fois promis le Paradis aux assassins et à leurs proches, argument de poids dans une société bien plus soucieuse de son devenir après la mort que de sa vie. Une incitation multiforme qui va des programmes télévisés, aux discours des responsables et dirigeants, aux caricatures publiées, ou aux réseaux sociaux en passant par les manuels scolaires ou le sport et qui touche même les plus jeunes, y compris dans les colonies de vacances, les enfants palestiniens étant transformés en enfants-soldats sans que la communauté internationale y trouve à redire. Les terroristes sont glorifiés et donnés en modèles, mourir en « martyr  » signifiant être choisi par Allah, l’image d’un sang faisant fructifier la terre ou l’utilisation du couteau pour tuer sont récurrents, tout comme un antisémitisme viscéral, digne du nazisme, ou la revendication de « toute la Palestine  », donc la destruction d’Israë l. Sans oublier la volonté de répandre l’islam sur terre…
Deux jours après cet assassinat, la télévision officielle palestinienne programmait une chanson entrainante, prônant le terrorisme, intitulée « Nous leur avons donné une idée de ce qu’est la douleur  »
Elle s’appelait ORI :
Elle s'appelait Ori from Pierre Rehov on Vimeo.
« Le salaire de la terreur  »
Le Salaire de la Terreur from Pierre Rehov on Vimeo.
MORAN
C’est dans des circonstances similaires que Moran, étudiante de 25 ans, avait été assassinée dans une forêt de Jérusalem le 8 février 2002. Mais cette fois ce sont 5 adolescents, entre 14 et 18 ans, qui, en voyant cette jeune fille, se transformèrent en barbares et la tuèrent à coups de couteaux, puis commirent d’autres attaques terroristes. Palestinian Media Watch, observatoire des médias palestiniens, qui a noté les similarités entre les deux meurtres souligne que dans les deux cas il y a eu une même réaction éhontée de l’Autorité palestinienne : non seulement silence sur la personne assassinée, mais les assassins sont présentés comme victimes. Le 8 février 2019, le quotidien officiel palestinien, Al-Hayat Al-Jadida, attaquait Israë l, qualifié « d’occupation  », et accusait d’avoir « volé la jeunesse  » des meurtriers de Moran, puisqu’ils sont en prison depuis lors. La parole est donnée aux parents de l’un d’entre eux et le quotidien rapporte leur tristesse… .
MALKI
Malki avait 15 ans. La Pizzeria Sbarro, situé à un carefour très animé de Jérusalem était un lieu très prisé des enfants. C’est justement pour cette raison que la terroriste du Hamas, Ahlan Tamimi, l’avait choisie en ce mois d’aoà »t 2001 pour qu’y soit perpétré l’attentat terroriste qu’elle organisait et pour que le plus d’enfants possibles soient tués. Elle transporta la bombe de dix kilos, cachée dans une guitare, et conduisit le terroriste suicide sur place, lui recommandant d’attendre un quart d’heure pour qu’elle puisse aller se mettre en sécurité. Pour faire le plus de dégâts possibles la bombe contenait non seulement des explosifs mais divers projectiles, comme des boulons. Ce fut un carnage, avec seize personnes tuées, dont Malki et quelque cent trente blessés. Ahlan Tamimi fut arrêtée plus tard mais libérée avec un millier de terroristes emprisonnés contre la libération de Guilad Shalit en 2011. Mariée à son cousin, terroriste du Fatah, elle vit aujourd’hui en Jordanie où elle est devenue une star, avec son programme de télévision dans lequel elle fait la promotion du Hamas et du terrorisme. En toute tranquillité bien qu’étant l’une des personnes les plus recherchées par le FBI depuis mars 2017.
Gloire et honneur donc mais cela n’est pas tout. Car l’Autorité palestinienne qui finance tous les terroristes sans distinction, a versé à ce jour plus d’un million de dollars aux huit terroristes ayant participé à cet attentat particulièrement sanglant. Un chiffre qui augmente au fil du temps. L’effroyable parcours de ces barbares est retracé par les parents de Malki dans un blog qu’ils tiennent pour pallier les carences médiatiques. Carences incompréhensibles quand on voit le nombre de victimes civiles juives et l’horreur des meurtres alors que des incidents dérisoires peuvent parfois faire la une des journaux.
Incitation financière au terrorisme : le scandale du cofinancement de ce terrorisme par le contribuable français
Ce sont des millions d’euros qui sont versés aux terroristes palestiniens en prison ou libérés ou à leur famille s’ils sont morts en « martyrs  » comme ils le souhaitaient. Or, l’Autorité palestinienne vit de dons, notamment de pays donateurs occidentaux. Les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, ont voté la loi Taylor Force - du nom d’un ancien combattant américain, devenu étudiant et en visite avec son université en Israë l, y fut assassiné par un terroriste- conditionnant les dons à un arrêt de l’incitation au terrorisme, ont réduit de 200 millions de dollars leurs versements à l’Autorité palestinienne. « Chantage  » ont crié des dirigeants palestiniens pour qui payer les terroristes est la première des priorités, faisant de leurs administrés de la chair à canon payée par des Occidentaux. Ce qui, de fait, garantit qu’ils restent au pouvoir en dépit de leur impopularité due à leur corruption, leur gestion calamiteuse, mais aussi leurs violations des droits de l’homme de leurs administrés.
Nous avons déjà dénoncé dans ces colonnes le fait que, dans ces conditions, la France continue à alimenter les caisses d’Abbas alors que certains pays conditionnent désormais leurs versements de fonds à un emploi autre que le paiement des salaires du terrorisme. Comme la Hollande ou les États-Unis
Alors que la France traverse une crise sociétale aigue, due pour une large part aux taxes imposées aux Français, il semblerait juste de la part du gouvernement de cesser de cofinancer le terrorisme palestinien avec l’argent du contribuable.
*La rapidité avec laquelle a été conclue l’enquête a été expliquée par Asher Ben Arzi, ancien colonel de la police israélienne, et ancien directeur d’Interpol en Israë l, aujourd’hui conseiller auprès du centre de réflexion sur le terrorisme ITCT . Ce terroriste était déjà fiché et a pu être identifié grâce à des traces de son ADN, des techniques de recherche modernes et une bonne coopération des divers services de sécurité.
Interview d’Asher Ben Arzi :
https://www.youtube.com/watch?time_...
Incitation au terrorisme par l’Autorité palestinienne :
Glorification des terroristes, choisis par Allah, ils gagneront le Paradis avec des proches, salaire confortable garanti, proportionnel à la gravité de l’attaque, du nombre des victimes, de la longueur de la peine de prison, s’ils meurent ce sera le Paradis immédiat et des allocations à vie pour leur famille.
Financement par le budget de l’Autorité palestinienne et des fonds versés par les pays donateurs, dont la FranceÂ