Qassem Suleimani avait, sur les mains, des tombereaux de sang (quantitativement plus d’origine iranienne que juive). Quand il a été tué par une frappe américaine, il s’est trouvé des médias humanistes français pour évoquer le tueur avec plus de compassion que pour ses innombrables victimes :
« Vendredi 3 janvier, à Bagdad, les États-Unis ont assassiné l’un des hommes les plus influents et aimés d’Iran, le général et commandant en chef de la force Qods, Qassem Soleimani (Blog Médiapart). »
« Ghassem Soleimani, sentinelle de l’Iran, général iranien, chef de l’unité d’élite de la révolution, la force Al-Qods…(le Monde) »
Il s’en est trouvé d’autres pour afficher leur admiration pour
« Hamasgate » : Facebook rendu muet
Liliane Messika, MABATIM.INFO
Article mis en ligne le 26 avril 2021