Des centaines de djihadistes français sont actuellement au Proche-Orient. Certains d’entre eux ont maltraité les journalistes otages récemment libérés. Un jour ces hommes aguerris aux massacres reviendront chez nous, chez eux. Seule la déchéance de la nationalité de ces tueurs en Syrie, serait de nature à conjurer le malheur. Mais il se trouvera toujours de fausses bonnes âmes pour prôner l’indulgence et la pédagogie. Quel esprit dérangé oserait pourtant encore soutenir que l’intégration à la française, que l’immigration de masse et sans contrôle, que la complaisance envers l’islam radical ne sont pas à l’origine de ce péril imminent. Et quel esprit naïf pourrait ignorer que la communauté juive fera, une nouvelle fois, les frais de cet angélisme niais qui conduit à l’enfer.
Une leçon de non-journalisme
Gilles William GOLDNADEL
Article mis en ligne le 5 mai 2014