« Ses chansons étaient des prières  » : Arik Einstein et la culture israélienne
par Pierre Itshak Lurçat
Article mis en ligne le 5 décembre 2013
Lors de mon premier séjour en Israë l, à l’âge de 17 ans, un des tout premiers disques que j’ai achetés était celui d’Arik Einstein, « Yoshev al ha-guader  » (« Sitting on the Fence  » en anglais). A l’époque, je ne comprenais presque rien des paroles de ses chansons, mais elles me parlaient quand même et trouvaient une résonance intime en moi (de même que j’ai su que ce pays était le mien, bien avant d’avoir compris que j’étais sioniste…).