Les syndicats d’enseignants ne désarment pas. Et ils appliquent à la lettre la règle selon laquelle « moins on est nombreux, plus il faut faire de bruit  ». Ces groupuscules sont d’autant plus libres d’agir qu’ils ne s’embarrassent pas des règles démocratiques : les décisions sont prises à l’unanimité des deux pelés présents et s’il y a un tondu, il a intérêt à être d’accord ou à se taire.
Syndicats d’enseignants (sections locales) comme associations (UJFP) sont entre les mains de quelques activistes pathologiquement haineux qui en assurent la présidence, le secrétariat et la trésorerie.
Les cent cons de Provence
L. Messika & P. Lefebvre © Primo
Article mis en ligne le 9 mars 2010