Un texte admirable d’équilibre et d’équité. Extraits : « A qui la faute de cette omerta ? A l’esprit de corps, pardi. Charles Enderlin est un journaliste chevronné et respectable ; or, un tel journaliste ne saurait manquer aux règles élémentaires de la pro fession ; donc, Charles Enderlin n’a pas fauté. Allons, messieurs les Journalistes, vous savez bien que ce syllogisme est vicié, et que nul n’a le monopole de la vérité... Alors, plutôt que de confondre dans un même opprobre ceux qui doutent parce qu’ils veulent com prendre, et ceux qui condamnent parce que la haine partisane leur tient lieu de jugeote, mieux vaudrait vous rallier à l’idée d’une commission d’enquête indépendante.  ». A diffuser largement. (Menahem Macina).
L’honneur du journalisme [A propos de l’affaire Al-Dura]
Elie Barnavi
Article mis en ligne le 8 juin 2008