Après le succès d’une première vidéo claire et didactique, le vice-ministre des Affaires étrangères israélien donne une seconde leçon d’histoire, rappelant que ce n’est pas une présence juive en Judée Samarie qui est un obstacle à la paix, mais le constant refus palestinien de l’existence d’Israë l, en dépit de tous les partages proposés ou des concessions faites
Remettre les pendules à l’heure : refus systématiques palestiniens de toutes les propositions israéliennes |
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En juillet dernier Danny Ayalon, vice-ministre des Affaires étrangères israélien remettait déjà les pendules à l’heure de l’histoire dans une vidéo dont le succès irrita passablement les « responsables  » palestiniens qui fonctionnent à coup de slogans et contrevérités historiques
A quelques jours du discours de Mahmoud Abbas à l’ONU et de sa demande unilatérale de reconnaissance d’un État palestinien Danny Ayalon met en ligne une seconde vidéo tout aussi didactique. « La vérité sur le processus de paix,  » retrace les différentes étapes d’une histoire véridique ayant commencé avec un premier refus arabe en 1937 alors que 4% des terres étaient proposées aux Juifs...Une histoire qui n’a rien à voir avec le narratif palestinien la déformant systématiquement ou taisant la réalité mais qui passe pourtant pour véridique, répandant des clichés aussi faciles que faux.
Ce rappel historique met à mal le prétexte invoqué aujourd’hui par les Palestiniens qui disent être contraints de s’adresser aux Nations unies pour en finir avec « la colonisation.  » En effet, conflit et terrorisme existaient déjà alors que la Judée Samarie était entre des mains arabes. Et l’OLP a été créé en 1964 alors qu’il n’y avait aucune présence juive en Judée Samarie. Ce n’est qu’après 1967 et une guerre d’autodéfense qui lui a été imposée qu’Israë l a saisi ces territoires.
Danny Ayalon rappelle que ce qui a conduit à la situation actuelle ce sont les refus systématiques des Palestiniens, pendant des décennies, de toute proposition, qu’elle soit onusienne – comme la partition proposée en 1949 – ou israéliennes – comme celles d’Ehoud Barak en 2000 qui leur proposait 93 % de la Cisjordanie ou d’Ehoud Olmert qui, en 2008, offrait d’accepter la quasi totalité, près de 100 % de ce que demandaient les Palestiniens en matière de souveraineté territoriale. Il évoque aussi le retrait total de la Bande de Gaza en 2005. Et souligne qu’après chaque concession ou proposition israélienne il y a eu une recrudescence du terrorisme palestinien.
Il en conclut que, dès lors, on peut se demander si ce n’est pas la fin de l’État juif plutôt que leur propre État que veulent les Palestiniens.
Cette seconde vidéo sera suivie par d’autres qui rappelleront également des vérités historiques. Elle a été réalisée par le ministère des Affaires étrangères avec l’organisation internationale StandWithUs, le producteur Shlomo Bass et le réalisateur Ashley Lazarus. Elle est disponible en plusieurs langues.
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