Honte aux désinformateurs de la presse et du Quai d’Orsay. Occulter cet élément crucial, donné à mainte reprise par Israë l, y compris le 22 juin 2010 par le ministre de gauche Ehoud Barak est une forfaiture : la Bande de Gaza est une base militaire iranienne jouxtant le sud d’Israë l . Base qui ne menace pas qu’Israë l mais tout l’Occident. Ce que rappelait récemment José Maria Azenar
Honte aux désinformateurs de la presse et du Quai d’Orsay. Occulter cet élément crucial, donné à mainte reprise par Israë l, y compris le 22 juin 2010 par le ministre de gauche Ehoud Barak est une forfaiture : la Bande de Gaza est une base militaire iranienne jouxtant le sud d’Israë l . Base qui ne menace pas qu’Israë l mais tout l’Occident. Ce que rappelait récemment José Maria Azenar
Honte aux désinformateurs de la presse et du Quai d’Orsay. Occulter cet élément crucial, donné à mainte reprise par Israë l, y compris le 22 juin 2010 par le ministre de gauche Ehoud Barak est une forfaiture : la Bande de Gaza est une base militaire iranienne jouxtant le sud d’Israë l . Base qui ne menace pas qu’Israë l mais tout l’Occident. Ce que rappelait récemment José Maria Azenar
S’adressant le 21 juin 2010 au Conseil International Socialiste aux Nations unies à New York le ministre de la Défense israélien soulignait que « Pour Israë l la bande de Gaza aujourd’hui est une base militaire iranienne à trois kilomètres de la ville israélienne la plus proche et à 60 kilomètres de Tel Aviv. Le Hamas gouverne la Bande de Gaza par la force et supprime ses opposants politiques avec cruauté.  »
Ehoud Barak évoquait aussi la « flottille  » turque et l’organisation d’autres « flottilles  » [ NDLR dont un bateau de femmes usurpant le nom de Marie, mère de Jésus, rien que ça, d’où a été bannie une chanteuse libanaise jugée trop olé olé par le Hezbollah ] qui tentent de briser le blocus maritime de la Bande de Gaza. « Les bateaux de toutes ces dernières semaines ...sont en fait de pures provocations étant donné qu’il n’y a pas de crise humanitaire dans la Bande de Gaza,  » a-t-il dit à cet égard. D’ailleurs, toute organisation voulant envoyer une aide aux civils de Gaza peut le faire par le port d’Ashdod. Ce que prévoit d’ailleurs un accord « entre Israë l et les Palestiniens.  » Et de rappeler que « chaque jour Israë l fournit de l’eau, de l’électricité et environ 150 camions chargés d’équipements, et pas uniquement des produits d’aide humanitaire.  »
Autre rappel, une évidence à quiconque est de bonne foi : « Israë l ne peut pas et ne veut pas permettre à des bateaux apportant des munitions d’arriver sur la côte de Gaza. Tant qu’une organisation terroriste règne sur la Bande de Gaza, ni Israë l ni l’Égypte ne permettront de telles livraisons. Israë l a le droit et l’obligation de se protéger et le fait dans le cadre du droit international et du droit humanitaire international.  »
Israë l s’est entièrement retiré de la Bande de Gaza il y a sept ans et a donné tous les villages israéliens à la population de Gaza, précisait-il. « Nous l’avons fait dans l’espoir de voir le calme s’instaurer sur notre frontière sud et que cela améliorerait nos relations avec nos voisins.  » Or, « le Hamas a pris le contrôle de la Bande de Gaza au cours d’une révolte sanglante en 2007 et depuis lors survit grâce au soutien militaire et financier de l’Iran. Le Hamas a élargi l’étendue de son pouvoir militaire dans la Bande de Gaza et a réussi à accumuler des milliers de missiles et de roquettes. Trois mille ont déjà été tirées contre Israë l.  »
Enfin Ehoud Barak s’adressait au monde au-delà de cette enceinte pour évoquer le sort du soldat Guilad Shalit, « depuis quatre ans prisonnier et otage du Hamas. Pendant ces quatre longues années il n’a bénéficié d’aucun droit de base tel que des visites par la Croix Rouge.  »
A noter que le lendemain de cette intervention, à Paris, Elisabeth Guigou, ancien Grade des Sceaux, estimait lors d’une conférence de presse de présentation de son Rapport d’Information – sic- sur la Syrie que « l’on devrait recommencer à parler au Hamas...  » sans mentionner Guilad Shalit, bien entendu. Entre autres aberrations...