Quinze anti-israéliens notoires avec des liens avérés avec des groupes terroristes se dirigent vers la Bande de Gaza sur un bateau qui porte le nom d’une anti-israélienne, anti-américaine notoire . Ils ont refusé de laisser Israë l transférer à Gaza ce qu’ils transportent. De toute évidence ils veulent en découdre. Derrière eux se profile l’Iran, avertit le Premier ministre israélien.
Qui ? L’International Solidarity Movement proche du Jihad Islamique et l’IHH
Le bateau appartient au mouvement « Free Gaza.  » Deux de ses membres, un couple, ont contribué à coordonner la « Flottille de la Haine  » qui a défrayé la chronique. Marmara et ses aspirants « martyrs  » soutenus par une organisation avec des liens avec des groupes affiliés au Jihad , y compris.
Ce couple a également co-fondé [l’International Solidarity Movement – ISM- qui a des liens établis avec des groupes terroristes. Un exemple : un terroriste appartenant au Jihad Islamique à Jénine, Shadi Sukiya, fut arrêté dans des bureaux de ISM.. Deux de ses membres l’avaient aidé à s’y cacher. Mais se prétend « non violent  »
On sait désormais que l’une des organisations qui a mis sur pied la « Flottille,  » l’IHH turque a également des liens avérés et étroits avec le terrorisme. De plus, la France devrait savoir de qui il s’agit étant donné que selon un institut danois « un rapport des services de renseignements français établit qu’au milieu des années 90 l’IHH a envoyé un certain nombre d’opérateurs dans des zones de guerre dans des pays musulmans pour s’y entraîner.  »
De plus, un ancien ambassadeur d’Israë l, Itamar Rabinovich, estime que le groupe à bord du Marmara était « une façade pour une organisation extrémiste avec de probables liens avec le parti au pouvoir en Turquie.  »
Quant au bateau, il porte le nom d’une anti-israélienne, anti-américaine notoire, Rachel Corrie , qui glissa sur des détritus alors qu’elle voulait se placer devant un bulldozer israélien pour l’empêcher de détruire un tunnel entre la Bande de Gaza et l’Égypte et dont ISM et leurs amis ont fait une sainte. Ou « martyre  » si l’on veut.
Le gouvernement irlandais met en garde Israë l : ne touchez pas à nos ressortissants...et somme le gouvernement israélien de laisser passer ce bateau... Encore un pays à éviter...
Parmi leurs soutiens on trouve Richard Falk, le Rapporteur Spécial des Territoires palestiniens occupés du Conseil des Droits de l’Homme des Nations unies – qui encensait Ahmadinejad à Genève...-, un antisémite notoire qui a comparé Israë l au nazisme
Même refus de remettre la cargaison et volonté d’en découdre
Israë l a proposé cette fois encore de transférer la cargaison transportée dans la Bande de Gaza après qu’elle ait été débarquée dans le port d’Ashdod. Même refus. Dans la cargaison il y a du ciment qui ne peut entrer librement à Gaza étant donné qu’il est utilisé par le Hamas pour construire des bunkers ou mouler des obus. Ce que savent pertinemment bien tous ces organisateurs.
A noter que le Hamas refuse de laisser entrer les cargaisons de la « Flottille  » précédente. Prétendant qu’ils veulent que les personnes arrêtées soient d’abord relâchées. Ce qui est fait puisque Israë l a expulsé la totalité des « humanistes-terroristes  » comme les appelle Serge Hajdenberg. Ne gardant que les citoyens israéliens qui étaient à bord.
L’intention des passagers est de « forcer le blocus de Gaza.  » Rebelote donc.
L’Iran aux portes d’Israë l et...de l’Europe.
Or, Israë l ne peut lever le blocus de Gaza. Dans une allocution du 2 juin 2010 le Premier ministre israélien exprime, une fois encore, les choses on ne peut plus clairement et lance un avertissement de taille
« Israël ne peut tout simplement pas permettre que des armes ou des matériaux utilisables pour la guerre destinés au Hamas entrent librement par la mer. J'irai plus loin. Israël ne peut permettre à l'Iran d'établir un port en Méditerranée à quelques dizaines de kilomètres de Tel Aviv et de Jérusalem. Et j'irai au-delà . Je dis aux dirigeants responsables de toutes les nations : la communauté internationale ne peut se permettre d'avoir un port iranien en Méditerranée. Il y a quinze ans je mettais en garde contre une évolution de l'Iran qui s'est produite. On reconnaît ce danger aujourd'hui. Je mets en garde aujourd'hui contre cet empressement qu'il y a à laisser l'Iran établir un port naval juste à côté d'Israël, juste à côté de l'Europe. Ces mêmes pays qui nous critiquent aujourd'hui devraient savoir qu'ils seront des cibles demain. »