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Cii-jointe une documentation supplémentaire et choquante de l’aile des exécutions de la prison de Zidnaya à Damas. De nombreuses cordes de suspension rouges, éparpillées partout, ont été utilisées par les hommes d’Assad pour pendre à mort les prisonniers. Selon les rapports choquants des chaînes de l’opposition syrienne, après que les prisonniers aient été exécutés par pendaison par les hommes d’Assad, les corps étaient placés dans une presse verte (dans la vidéo), qui les comprimait jusqu’à épaisseur d’une feuille de papier, puis les hommes d’Assad plaçaient les restes des corps dans des sacs avant de les jeter.
L’Iran trace une ligne sanglante dans l’histoire du XXIe siècle avec ses pratiques d’amputation judiciaire, transformant des vols en mutilations légalisées. Les chiffres sont glaçants : 237 condamnations, 129 exécutions confirmées en 20 ans. Et une accélération brutale ces trois dernières années. Le raffinement macabre de la méthode est édifiant : une guillotine moderne, calibrée pour sectionner précisément les doigts. Une industrialisation de la barbarie qui rappelle les pires heures de l’histoire des châtiments corporels. Le chef du système judiciaire, Gholamhossein Mohseni Ejei, revendique fièrement ces mutilations comme « un commandement divin » – une rhétorique moyenâgeuse servie par une technologie contemporaine.
En ce samedi 7 décembre jour de l’inauguration de l’arbre et de la crèche de Noël sur la place Saint-Pierre, François a reçu en audience ceux qui les ont offerts, adressant ses remerciements pour leurs « précieux dons ». Le symbole de la crèche, a dit l’évêque de Rome, « nous parle aussi de Noël, où Dieu se fait homme pour partager notre pauvreté, en venant construire son Royaume sur terre ». La rencontre qui précède l’inauguration aujourd’hui à 18h30 de l’arbre et de la crèche de Noël sur la place Saint-Pierre, constitue le premier acte de l’initiative « Nativité de Bethléem 2024« .
Le départ précipité de Bachar al-Assad en Russie, après une avancée rapide des forces rebelles dirigées par Hayat al-Tahrir al-Sham (HTS), relance les spéculations sur l’avenir des bases militaires russes en Syrie. Ces installations stratégiques, essentielles pour les opérations russes dans la région, sont désormais au cœur des préoccupations de Moscou. Lors d’une déclaration récente, Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, a souligné qu’il était trop tôt pour déterminer le sort des bases de Hmeimim et de Tartous, situées respectivement dans les provinces de Lattaquié et sur la côte syrienne
L’Inauguration a lieu au moment où le Premier ministre promet de combattre l’Iran Le Premier ministre remercie les pays d’Amérique latine pour leur soutien à Israël et au peuple juif, y compris pendant la Shoah. Le chef d’Etat paraguayen Santiago Peña est arrivé mercredi en Israël, à la veille de l’inauguration de l’ambassade de son pays à Jérusalem. Cette visite fait suite à une invitation du président de la Knesset, Amir Ohana, qui a effectué une visite diplomatique au Paraguay quelques mois plus tôt.
Une enquête menée par l’organisation UN WATCH à l’occasion de la journée des droits de l’homme, révèle que du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme et son Haut-commissaire, l’autrichien Volker Türk, s’en est pris à Israël plus qu’à tout autre pays du monde. Selon l’enquête, il condamne de manière obsessionnelle Israël et a prononcé 58 condamnations contre l’État hébreu au cours des deux dernières années, dont 49 depuis le 7 octobre et le début de la guerre contre le Hamas et les terroristes palestiniens. Durant tout ce temps, Volker Türk a complètement ignoré ou prêté très peu d’attention aux violations graves qui ont touché des millions de personnes en Chine, au Yémen, en Corée du Nord, en Syrie, à Cuba, en Érythrée et dans de nombreux autres pays.
Des responsables israéliens ont déclaré qu’à ce stade, l’optimisme était prématuré Une source israélienne proche des négociations d’accord visant à la libération des otages a indiqué mercredi à la chaîne israélienne Kan, que malgré les informations faisant état de progrès dans les pourparlers, Israël n’avait pas reçu les noms des otages qui doivent être libérées lors de la première phase. « Aucune liste d’otages ne nous a été transmise », a-t-il assuré. Selon lui, « la visite du chef d’état-major et du chef du Shin Bet au Caire n’a pas abordé le sujet des otages ».
Nos intérêts stratégiques et la façon dont le monde les perçoit Israël est confronté à un environnement stratégique complexe qui nécessite un équilibre délicat entre les intérêts nationaux et les perceptions internationales, tandis que l’opinion publique de la communauté internationale peut affecter ses relations diplomatiques et le soutien à l’étranger aux futures démarches de l’État d’Israël. L’objectif principal d’Israël à l’heure actuelle doit rester comme il l’a été récemment, depuis le pogrom du 7 octobre :Maintenir sa sécurité sans compromis.
« Israël ne veut pas d’une Syrie stable » : l’analyse erronée de The IndependentSam Kiley, rédacteur en chef de la rubrique Affaires internationales du journal The Independent, a une longue expérience de la couverture du Moyen-Orient pour plusieurs médias grand public, dont CNN, Sky News et le Evening Standard de Londres. Bien qu’il se présente comme un expert, son jugement erroné s’est révélé de manière particulièrement célèbre en 2002, lorsque Kiley a invoqué des témoins pour parler de la « brutalité stupéfiante et du meurtre impitoyable » d’Israël à Jénine, alors que les médias accusaient Israël d’un massacre qui n’a jamais eu lieu.
Le Washington Post a rapporté que des drones fournis par Kiev aux rebelles ont joué un rôle dans la chute du régime de Bachar el-Assad Les rebelles syriens, qui ont pris le pouvoir à Damas il y a peu, ont reçu des drones ainsi qu’un soutien d’agents de renseignement ukrainiens, a rapporté le Washington Post mercredi matin. Selon le média, qui cite des sources bien informées sur l’activité militaire ukrainienne à l’étranger, l’objectif d’une telle aide était de déstabiliser la Russie et ses alliés syriens.
Les otages inclus dans la liste « répondent aux critères humanitaires établis, notamment des hommes de plus de 50 ans et ceux ayant un problème de santé grave »L’Egypte a remis à la délégation israélienne venue aux négociations au Caire une liste de 30 otages qui répondent aux critères humanitaires et qui devraient être libérées lors de la première phase de l’accord en cours de négociation, a rapporté mercredi matin le journal libanais Al-Akhbar, affilié au Hezbollah. Selon un responsable égyptien cité par le journal, la réunion à laquelle a participé la délégation israélienne a porté sur la formulation d’un cessez-le-feu de 60 jours en échange de la libération de 30 otages israéliens<
Suite à la chute du régime d’Assad, l’Allemagne gèle temporairement les demandes d’asile des citoyens syriens La disparition de la Syrie en tant qu’entité politique réelle, après l’effondrement de la police et la création d’un vide gouvernemental dans lequel aucun pouvoir ne contrôle et ne dicte une politique ordonnée et acceptée selon les normes mondiales, affecte déjà des pays du monde entier.
Tsahal a donné un nom à l’opération en cours en Syrie depuis la chute du dictateur Bachar El Assad : Flèche du Bachân – du nom biblique du territoire situé à l’ouest du Plateau du Golan. 350 avions de chasse ont participé jusqu’à maintenant à cette opération qui consiste à anéantir les capacités militaires du régime d’Assad afin que celles-ci ne tombent pas dans des mains hostiles.
« Les développements en Syrie découlent directement de l’affaiblissement significatif des principaux soutiens d’Assad - la Russie et l’Iran », a déclaré John Kirby La Maison Blanche revendique un rôle majeur dans la chute du régime syrien, établissant un lien direct entre son soutien à Israël et à l’Ukraine et l’incapacité de l’Iran et de la Russie à maintenir Assad au pouvoir. « Les développements en Syrie découlent directement de l’affaiblissement significatif des principaux soutiens d’Assad - la Russie et l’Iran », a déclaré John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, lors d’un point presse. « Cet affaiblissement est directement lié au soutien américain indéfectible à Israël dans sa lutte contre le Hamas et dans les efforts pour obtenir un cessez-le-feu avec le Hezbollah ».
Aujourd’hui (mardi) le 9 kislev est l’anniversaire en date hébraïque d’Eli Cohen, z’l. L’espion israélien exécuté par la Syrie en mai 1965 aurait 100 ans. Sa veuve, Nadia, a raconté au micro d’Arutz7, qu’elle n’a jamais cessé d’espérer pouvoir enterrer son mari en Israël. Désormais, avec le renversement du régime en Syrie, cet espoir prend un nouveau tournant. Nadia explique que le Mossad recherche le lieu de sépulture d’Eli Cohen depuis son exécution, avec l’aide des Américains.
Selon des informations à prendre avec prudence rapportées par le journal saoudien Asharq Al-Awsat, l’accord qui se profilerait entre Israël et le Hamas prévoit un cessez-le-feu de 60 jours et la libération de 30 otages (sur 100) qui répondent aux critères d’urgence humanitaire. Il s’agit soit de personnes âgées soit de personnes dont l’état de santé nécessite une prise en charge urgente. Un otage serait rendu tous les deux jours du cessez-le-feu. Le journal poursuit en citant une source proche des négociations qui estime que la proposition pourrait être adoptée dans les jours qui viennent. Selon cette source, le Hamas garderait les ”otages les plus importants” pour d’autres vagues de libération.
Le Premier ministre Netanyahou a publié ce soir (mardi) un message vidéo dans lequel il tend la main au nouveau régime syrien mais pose un avertissement. ”Nous n’avons pas l’intention d’interférer dans les affaires intérieures de la Syrie, mais nous avons l’intention de faire ce qui est nécessaire pour notre sécurité. A ce titre, j’ai approuvé le bombardement par l’armée de l’air des capacités militaires stratégiques abandonnées par l’armée syrienne afin qu’elles ne tombent pas entre les mains des djihadistes.
Le Premier ministre Netanyahou a publié ce soir (mardi) un message vidéo dans lequel il tend la main au nouveau régime syrien mais pose un avertissement. ”Nous n’avons pas l’intention d’interférer dans les affaires intérieures de la Syrie, mais nous avons l’intention de faire ce qui est nécessaire pour notre sécurité. A ce titre, j’ai approuvé le bombardement par l’armée de l’air des capacités militaires stratégiques abandonnées par l’armée syrienne afin qu’elles ne tombent pas entre les mains des djihadistes. Cela ressemble à ce que l’armée de l’air britannique a fait lorsqu’elle a bombardé la flotte du régime de Vichy, qui coopérait avec les nazis, afin qu’elle ne tombe pas entre les mains des nazis.
L’influence de la Turquie s’étend en Syrie après la chute d’Assad, soulevant des questions sur la prochaine initiative d’Erdogan à l’encontre d’Israël. L’invasion fantasmée d’un membre renégat de l’OTAN
Au vu du succès des rebelles et de la chute du régime d’Assad, le président turc Recep Tayyip Erdogan est -il prêt à mettre à exécution sa menace d’envahir Israël ? Depuis le 7 octobre, la Turquie a durci sa position envers Israël, notamment en rompant ses relations commerciales avec Israël en solidarité avec le Hamas. En juillet, Erdogan a encore intensifié ses propos en menaçant : « Tout comme nous sommes entrés dans le Haut-Karabakh et en Libye, nous ferons la même chose avec Israël. »
La Syrie est libérée du joug de Bachar al-Assad, mais pas retrouvée. Les puissances régionales ont profité de la vacance du pouvoir pour avancer leurs pions sur le territoire syrien : la Turquie au nord en prévision de son affrontement avec les milices armées kurdes et Israël à l’ouest pour « sécuriser » sa frontière au niveau du plateau du Golan annexé depuis 1967. L’armée israélienne a confirmé ce mardi que ses forces « sont stationnées dans la zone tampon » avec la Syrie à la lisière de la partie du plateau du Golan occupée et annexée par Israël, « et aux points de défense près de la frontière » pour « protéger » le pays. Israël a aussi ordonné à son armée de créer une zone sans armes dans le sud de la Syrie, ce mardi.