Depuis le 7 octobre, le nombre de personnes atteintes du « syndrome du cœur brisé » a augmenté de 100%, selon une étude médicale israélienne.
Il s’agit d’une maladie qui touche surtout les femmes, et survient lors d’une grande tristesse physique ou émotionnelle. Elle touche le ventricule gauche qui est la principale cavité du pompage du cœur. Les symptômes sont de fortes palpitations, une crise cardiaque qui peut engendrer la mort. Cela a été le cas avec le père d’Almog Meïr, l’otage sauvé le 8 juin. Yossi Meir, 59 ans, est décédé quelques heures avant de pouvoir revoir son fils. « Il est mort d’un arrêt cardiaque. Il n’a pas appris que son fils avait été libéré de captivité », avait déclaré à la chaine Kan sa sœur Dina, qui l’a découvert dans son appartement de Kfar Saba.
Le « cœur brisé », cette maladie mortelle qui a doublé en Israël depuis le début de la guerre
i24news
Article mis en ligne le 16 juin 2024