Hier soir dans CPolitique , la télévision publique a touché le fond : alors que Boualem Sansal, embastillé dans une geôle algérienne, ne pouvait répondre, on aura organisé -sans que l’animateur proteste un instant- ton procès avec des arguments devenus le « Sans dot » de Molière : Tu es, cher ami, d’extrême droite.
Aux commandes, un Benjamin Stora dans son rôle, escorté d’un Sidi Moussa, t’ont attaqué à loisir : Pour Stora, tu a commis le crime d’avoir … « blessé le sentiment national algérien ».
Pour le docteur en sciences politiques, Nadjib Sidi Moussa, « Te tenir pour un homme des lumières, qui défend les grandes causes, c’est se tromper complètement ». Selon lui, tu reprendrais les thèses d’Éric Zemmour en tenant un discours « hostile aux immigrés et aux musulmans », et nous qui te soutenons serions … « aveugles ou complices ».
Cher Boualem, Hier sur CPolitique, des hommes de peu, dont Benjamin Stora, ont voulu faire ton procès : Tu dénonces l’islamisme donc tu es d’extrême droite
Tribune Juive
Article mis en ligne le 25 novembre 2024