Le 20 février, Macron annonçait : « La France, qui l’a endossée en décembre avec ses partenaires européens, mettra en Å“uvre la définition de l’antisémitisme adoptée par l’Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah ». Panique dans les rangs des antisionistes professionnels. L’idée de ne plus pouvoir livrer librement leur refus du « retour des juifs à Sion  » leur fait mal. La haine va-t-elle les étouffer ?
Dans une profession de foi intitulée « L’antisionisme est une opinion, pas un crime  » publiée hier dans Libération, 400 signataires plus ou moins connus s’empressent d’associer, dès les premières lignes, le président Macron avec « le sinistre Bibi  » et le « dîner du Crif  » — ce dîner est décidément une obsession.
Pour les 400, une ultime jouissance : exprimer sans entraves la haine d’Israë l
Times of Israë l en français | Édith Ochs
Article mis en ligne le 11 mars 2019