Les questions qui tuent (seconde et dernière partie)
Et puis, il y a la « question qui tue au sens premier », celle à qui l’on doit la justification morale du cortège de morts et d’estropiés, dont l’AFP fait fièrement référence sur ses dépêches juives.
Celle qui, suivant la réponse qu’on lui donne, va, dans la cervelle troublée de ceux qui veulent bien accepter d’être troublés, équilibrer les responsabilités, entre les Israéliens, démocrates, et les pires fanatiques monoculturaux, hyper violents et mondialo-hégémonistes qu’ait produit l’islam.
Ceux-ci, partant de la réponse qu’ils font à cette question, n’admettent plus, ni la nécessité de protéger des cannibales, par un mur, une population qu’ils jugent désormais dégénérée, ni la raison qu’il y aurait à lui conserver son droit à disposer librement d’elle-même. Pour peu que l’on y réponde comme un certain Edgar (...)
Article mis en ligne le 4 décembre 2003