Israë l, pas plus que le Canada, les États-Unis, l’Italie ou l’Allemagne, ne participeront aux « célébrations  » qui marqueront le 21 septembre à New York le suivi de Durban I, marqué par son mépris d’une lutte réelle contre le racisme de par le monde et son acharnement contre la seule démocratie du Moyen-Orient mais aussi son antisémitisme virulent, notamment de la part de la plupart des ONG accréditées.
La décision de « célébrer  » et poursuivre Durban I a été prise dans un premier temps par une commission onusienne, décision approuvée par une large majorité Puis elle a été votée en Assemblée Générale le 24 décembre, là encore par une large majorité, quelques absentions, dont celle de la France, et 22 votes contre comme ceux du Canada, des États-Unis, de l’Italie, du Royaume-Uni, la Hollande ou de l’Allemagne
Des associations telles que UN Watch , la LICRA en France ou l’ADL aux Etats-Unis se sont d’ores et déjà mobilisées, comme le font des élus américains ou des ministres canadiens .
Israë l vient de réagir à cette décision, rappelant que le peuple juif a été victime du racisme au cours de l’Histoire et est partie prenante de la lutte contre le racisme. Par ailleurs, Israë l déplore que la Conférence contre le racisme de Durban « ait été détournée et politisée par la majorité automatique des Nations unies en la reliant à la Déclaration de Durban et son programme d’action que beaucoup d’États préféreraient oublier. La Conférence de Durban de 2001, avec son fond d’antisémitisme et ses manifestations de haine à l’encontre d’Israë l et du monde juif, nous a laissé des cicatrices qui ne se guériront pas rapidement.  »
Israë l annonce aussi qu’en l’état actuel des choses et le lien entre Durban I et cette réunion – de haut niveau – à New York le 21 septembre 2011 – quelques jours après l’anniversaire de 9 / 11 – étant fait, l’État hébreu ne participera pas. Mais suivra attentivement les préparatifs de cette manifestation dont il espère qu’elle traitera vraiment des problèmes du racisme dans le monde, « en rejetant les tentatives de détourner l’attention du monde de ce phénomène dangereux une fois encore en ayant recours à une politisation de bas étage.  »