Le Lt.-Gen. Ashkenazi, chef d’Etat-major de Tsahal : « Israë l a le droit de se défendre (contre les menaces iraniennes de destruction) et toutes les options sont ouvertes. Nous sommes prêts à toutes les éventualités ». En ce qui concerne la coopération entre Tsahal et les forces armées américaines, elle est professionnelle et efficace, et les relations sont très étroites et le resteront en cas de conflit.
L’Iran et la course à la bombe
Le Maj-Gen Ido Nehoushtan commandant des forces aériennes d’Israë l fera tout ce qui est en son pouvoir pour que l’Iran n’acquière pas le système de défense russe S-300. Celui-ci permet de suivre 100 cibles simultanément et d’en attaquer 20, à une distance de 200 km et une altitude de 30 000 m. Bien qu’un accord russo-iranien ait été signé pour une livraison imminente, celle-ci n’a pas encore eu lieu. En fait Israë l a réussi pour le moment à dissuader la Russie de livrer les S-300. Ido Nehoushtan affirme : « En dernier recours, le travail sera fait par nos forces aériennes, pour apporter la sécurité à l’état d’Israë l et nous savons comment faire » – Une étude militaire américaine conclut qu’Israë l sera amené à intervenir si les Etats-Unis ne parviennent pas à stopper les ambitions iraniennes dans leur programme nucléaire à court terme ou si l’introduction d’armes ou de technologie en Iran modifie le jeu actuel.
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Concernant la résolution américaine sur le futur contrôle des armes, N. Sarkosy a précisé face aux rêves d’Obama : « Nous avons raison de parler pour l’avenir. Mais le présent vient d’abord ; et aujourd’hui nous sommes face à 2 crises importantes, l’Iran et la Corée du Nord. Nous vivons dans la réalité, non pas dans un monde virtuel … Nous disons que nous devons réduire les armements nucléaires. Le président Obama a dit lui-même qu’il » rêvait d’un monde sans armes nucléaires « . Mais devant nos yeux, aujourd’hui même, deux pays font juste le contraire. Depuis 2005, l’Iran a violé toutes les résolutions du Conseil de Sécurité… Je soutiens la »main tendue« de l’Amérique. Mais toutes les propositions de dialogue avec l’Iran, qu’ont-elles donné ? Rien ! Plus d’uranium enrichi et plus de centrifugeuses. Et ces appels des dirigeants iraniens pour effacer de la carte un membre des Nations Unies !… Que devons nous faire alors ? Quelle conclusion doit-on tirer ? Les faits sont têtus et ils nous obligent à prendre des décisions »
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Ahmedinejad, le 10/9/09 devant des profs d’université – (Memri)
… "Dans la société occidentale, selon la théorie du développement, tous les efforts visent à la domination de la démocratie libérale, la création d’une économie de marché, le relativisme moral et la non-ingérence des valeurs morales dans les relations sociales. Cette approche a un avenir sombre, mais tous les efforts vont dans ce sens. Selon cette théorie, la société américaine a atteint l’apogée du développement social et, afin de peindre le monde à son goà »t, elle a créé divers organismes internationaux conformes à sa propre culture et essaie de pousser le monde à s’aligner sur elle. Il est évident que cette théorie se retrouve aujourd’hui dans l’impasse, et si nous voulons suivre cette voie, nous devons savoir qu’elle mène à un précipice. …
Notre nation, avec son patrimoine culturel et son adhésion à un ensemble de valeurs morales divines, ne peut en aucune façon emprunter une voie fondée sur des valeurs matérialistes. Le monde peut-il concevoir un modèle pour le passé, le présent et l’avenir de la société humaine qui soit supérieur celui de la société d’Ali (ibn Abi Talib, premier imam chiite, cousin et gendre de Mohamed) et du Mahdi, le messie chiite (imam occulté qui va revenir, sortant d’un puits) ? …
Aujourd’hui, notre mission ne se limite pas aux affaires internes de notre pays, c’est une mission mondiale qui a pour but de trouver une échappatoire au genre humain pour qu’il puisse se sortir de cette déception."
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Etats-Unis
D’après certains politologues américains néoconservateurs, Mr Obama serait un idéologue gauchiste. On pourrait émettre une autre hypothèse, celle qui dirait qu’Obama roule pour l’affaiblissement des Etats-Unis, dans le but de faire remplir le vide qui s’ensuivra par les forces montantes de l’islam radical, qu’elles soient sunnites ou shiites. Cette hypothèse est étayée par les discours délirants d’Obama en faveur de l’Islam et son comportement vis-à -vis d’Israë l, cherchant à lui enlever, avant toute négociation sérieuse, ses 2 atouts majeurs, les implantations en Judée-Samarie et son armement nucléaire de dissuasion.
A aucun moment on ne pourrait croire aux excuses que Mr Obama serait un ignare des problèmes du Moyen Orient ou un utopiste de la paix.
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Alan M. Dershowitz, avocat et professeur à Harvard, connaît Jimmy Carter depuis 30 ans. Il l’a aidé à devenir président et l’a conseillé après, pensant que c’était un homme intègre, ayant des principes concernant les Droits de l’Homme. Il a découvert récemment que Carter était étroitement lié à l’argent du pétrole saoudien. L’université de Harvard comme le Centre de Carter ont reçu des donations importantes du Sheikh Zayed bin Sultan Al Nahayan, à travers sa fondation « Centre Zayed pour la coordination et le suivi ». Quand celui-ci exprima avec violence son antisémitisme (« Les Juifs sont les ennemis de toutes les Nations »- Ils ont assassiné Kennedy- Ils sont derrière le 9/11 – l’holocauste est une fable…), Harvard a rendu son argent au Sheikh, mais pas Carter. Ce dernier a même précisé dans un discours qu’il était fier de recevoir ces fonds de son ami le Sheikh Zayed.
Après des recherches, Alan Dershowitz a découvert que Carter et son Centre recevaient énormément d’argent de sources suspectes et que son affaire familiale de cacahuètes était liée depuis le début au banquier saoudien Agha Hasan Abedi, qui a versé plus de 10 millions $ à Carter pour différents projets. Abedi disait que ces fonds étaient « le meilleur moyen de combattre la mauvaise influence des sionistes ». Carter et son Centre ont reçu du roi Fahd et de la famille royale saoudienne plusieurs dizaines de millions $, malgré les abus de ces dirigeants à l’encontre des Droits de l’Homme.
Il serait économiquement suicidaire pour Jimmy Carter d’avoir une attitude neutre ou juste dans le conflit arabo-israélien. Mais les Droits de l’Homme alors ?
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Etat Palestinien
Le 1er ministre palestinien Salam Fayad a établi en aoà »t 2009 un protocole de 38 p qui sert de guide politique. Il s’agit en fait d’une déclaration de guerre contre l’état hébreu et non un manifeste de paix. Fayad affirme que Jérusalem sera la capitale de l’état palestinien, en répétant et précisant de très nombreuses fois qu’il s’agit bien de toute la ville de Jérusalem, et non pas de Jérusalem-Est. « Jérusalem est l’éternelle capitale du futur état palestinien, son centre religieux, culturel, économique et politique, qu’il faut protéger » dit-il. « C’est la Fleur des villes, la Capitale des Capitales » …. De plus l’état palestinien sera un état islamique qui fera la promotion de la religion et de la culture islamique en développant des programmes éducatifs basés sur la « sharia’h », telle qu’elle émane du Saint Coran et de l’héritage du prophète. Fayad s’engage à créer un état palestinien dans les 2 ans, état qui fera campagne pour libérer tous ses prisonniers et pour que tous les réfugiés reviennent dans leurs foyers de 1948… Beau programme d’un homme appelé « modéré » par les médias et les instances internationales.
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Un officiel de haut rang de l’Autorité Palestinienne aurait confié à WorldNetDaily.com que « le président Obama en avait marre d’Israë l » et que l’administration américaine lui aurait donné des garanties que pratiquement tout le territoire de Judée-Samarie serait vidé des Juifs dans le statut final et que toutes les constructions reviendraient à l’état palestinien. Ainsi peu importe si Benyamin Netanyahou continue de construire en Cisjordanie, puisque tout ce qu’il construit reviendra au futur état, sans être détruit, contrairement à ce qui s’est produit à Gaza.
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Israë l
Marcus Tullius Cicéron - 1er s avant l’ère courante :
« Une nation peut survivre à ses fous, et même à ses ambitieux. Mais elle ne peut pas survivre à la trahison de l’intérieur. Un ennemi aux portes est moins redoutable, car il est connu et il porte sa bannière ouvertement. Mais le traître se déplace librement parmi ceux qui sont à l’intérieur des murailles, ses murmures pervers bruissent à travers les ruelles, et on les entend dans les allées même du pouvoir. Un traître ne ressemble pas à un traître ; il parle avec une voix familière à ses victimes, et il porte leur visage et leurs arguments ; il en appelle à la bassesse qui se trouve ancrée dans le coeur des hommes. Il pourrit l’âme d’une nation, travaillant en secret, inconnu dans la nuit, sapant les piliers de la ville. Il contamine le corps politique qui ne peut plus résister. Un assassin est moins à craindre. Le traître c’est la peste ».
Ce texte s’applique aux personnes juives qui ont coopéré de près ou de loin à l’établissement d’un rapport inique, tendancieux et dangereux, le rapport du juif sud-africain Goldstone sur l’opération « Plomb fondu » à Gaza en janvier 2009.
Islam Modéré
Malaisie
La Justice malaisienne ordonne la flagellation d’amants qui tentaient de faire l’amour dans une voiture. Ce n’est que l’un des derniers châtiments infligés aux Musulmans en Malaisie. Pour y échapper les amants ont payé une amende de 1500 $ chacun et rapproché la date de leur mariage. Ils pouvaient être condamnés à 3 ans de prison.
Pourtant on a longtemps considéré la Malaisie comme un état à majorité musulmane modéré (60% de Musulmans sur 28 M d’habitants). Mais des verdicts de plus en plus sévères sont prononcés, se conformant à la loi musulmane, la sharia’h. Ainsi des coups de fouet pour l’usage d’alcool, notamment une femme qui buvait de la bière.
La police religieuse sévit partout aujourd’hui et la Cour condamne à 6 coups de fouet et à un an de prison tout Musulman surpris à boire de l’alcool.
Egypte
Les autorités religieuses et judiciaires égyptiennes sont ulcérées devant les tentatives de la Chine d’importer dans le pays un système efficace et peu coà »teux pour reconstituer l’hymen des femmes déflorées (15 $).
Selon la sharia’h la peine de mort est requise pour la femme qui recourrait à de tels procédés. Dans ce système des gouttes de liquide suintent, imitant le sang et simulant la virginité lors de la nuit de noces. Certaines femmes procèdent à une opération chirurgicale coà »teuse et risquée pour retrouver un état virginal exigé par la société ambiante.