Après les cérémonies, les feux d’artifice et la fête populaire, l’heure du bilan arrive à grand pas, avec ses différentes versions, ses plaidoyers, ses manipulations et ses accusations. Neuf mois se sont écoulés depuis que John Kerry a entamé les pourparlers. La date butoir est déjà derrière nous et le processus de paix avec les Palestiniens reste toujours au point mort. A terme, rien ne bouge ! C’est l’immobilisme, l’impasse ! A qui la faute ? Qui est responsable ? Y-a-t’il encore une chance de remettre en route les pourparlers ? De revoir la locomotive de la paix démarrer et foncer tel un TGV ? D’arriver enfin à destination, à la station promise, à un compromis historique avec nos voisins arabes ? Malgré l’optimisme des Américains et de Shimon Pérès, « l’irréductible  », nous pouvons hélas en douter.
La frustration américaine, le double jeu palestinien et l’hypocrisie de la gauche
Freddy Eytan | Le Cape
Article mis en ligne le 14 mai 2014