Les anti-israéliens – qui se prétendent à tort pro-palestiniens – font feu de tout bois dans leur stratégie menée contre l’État hébreu. Utiliser Internet est très à la mode désormais pour lutter « contre  »...un moyen sous-tendu par le mensonge qu’utilisent allégrement tous ceux qui veulent la perte d’Israë l. Mais les garde-fous existent, comme on vient de le voir dans l’affaire Facebook
Pourquoi il a fallu du temps à Facebook pour fermer la page Third Intifada |
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Des anti-israéliens avaient eu l’idée brillante d’ouvrir une page Facebook intitulée « Third Palestinian Intifada  » - la troisième intifada palestinienne devant se déclencher le 15 mai -, s’inspirant sans nul doute de l’utilisation d’Internet et des réseaux sociaux qui ont contribué à mettre à mal quelques régimes arbitraires arabes.
Au 23 mars 160.000 Palestiniens s’étaient d’ores et déjà inscrits à ce groupe. Les réactions contre les appels à la haine contenus dans cette page ont été vives. Et finalement cette page a été fermée par Facebook .
Parmi ceux qui se sont insurgés contre la teneur haineuse de cette page, il y a eu des contre-groupes pro-israéliens très actifs agissant pour défendre Israë l et non pas contre les Palestiniens - on voit ici toute la différence d’attitude...- comme l’Anti Defamation League ou l’Organisation Sioniste d’Amérique aux États-Unis ou des groupes individuels mais aussi des responsables politiques à l’instar du ministre israélien à la Diplomatie et à la Diaspora, Youri Edelstein. Il s’est ému auprès de Facebook de l’existence d’un groupe prônant des attaques anti-israéliennes.
Facebook lui a répondu officiellement, expliquant que si cette page n’a a pas été fermée immédiatement c’est qu’au départ les responsables du groupe avaient effacé tout contenu appelant à la violence et que, dès lors, le débat était acceptable. Mais, par la suite, ils avaient non seulement cessé d’y interdire tout appel à la haine ou la violence mais en avaient rajouté eux-mêmes... ne tenant alors plus aucun compte des nombreux avertissements qui leur ont été adressés par Facebook.
Devant cet état de fait Facebook a fermé cette page. Mais, bien évidemment, d’autres pages l’ont aussitôt remplacée, comme des observateurs vigilants l’ont constaté Ces pages caractérisées par des logos agressifs – poing fermé – aux couleurs palestiniennes criardes n’ont rien du débat d’idées que Facebook estime acceptable.
Le combat se poursuit donc entre des anti-israéliens agressifs et des pro-israéliens refusant toute incitation à la haine et la violence. Et va se poursuivre devant un tribunal de Washington devant lequel un Américain, Larry Klayman, a porté plainte contre Facebook et son co-fondateur Mark Zuckerberg pour avoir trop attendu pour fermer cette page incitatoire, appelant non seulement à la violence anti-israélienne mais antisémite également. Il estime que, du fait de ces tergiversations, un grand tort a été causé. Y compris à ceux qui, comme lui-même, sont décrits comme « Sionistes  » On trouve un écho de ce dépôt de plainte repris du site Techcrunch sur Facebook qui publie un article ironique à ce propos
Coutumiers du double langage et du mensonge : duplicité |
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Cette manÅ“uvre des initiateurs de la première page Third Intidafa qui consiste à faire le beau puis à faire exactement le contraire de ce à quoi on s’est engagé n’est pas inhabituelle....C’est ce que fait couramment l’Autorité palestinienne adepte du double langage, se montrant sous des dehors « civilisés  » avec des Occidentaux, mais prônant la haine et la violence anti-israéliennes et antisémites lorsqu’elle s’adresse à un public arabe...
On en a eu un exemple récent avec un Mahmoud Abbas s’adressant à un public israélien et qui condamne la glorification d’une terroriste qui fit assassiner 37 civils israéliens lors d’une prise d’un bus en otage en 1978. Mais lorsqu’il s’adresse à des Palestiniens dans le journal officiel de l’Autorité palestinienne, il se félicite que cette même terroriste soit donnée en modèle...
Salam Fayyad ne se comporte pas différemment.. Palestinian Media Watch montre comment le même jour Salam Fayyad rend hommage à des femmes terroristes ayant commis des attentats à la bombe, puis condamne l’attentat terroriste perpétré à Jérusalem le 24 mars dernier...
Ce qui étonne est que tant de responsables occidentaux continuent à se laisser duper...