MEMRI
Quelques jours après la publication cet été du Rapport de la Commission sur le 11 septembre, le cheikh Abd El-Hamid, ancien doyen du département de la charia de l’université du Qatar et l’une des grandes figures réformistes du monde arabe, a écrit un article paru dans le quotidien Al-Hayat, publié en arabe à Londres, le 2 aoà »t 2004, où il pose la question : « Pourquoi ne pas saisir l’occasion de la publication du Rapport de la commission sur le 11 septembre pour nous demander pourquoi la violence destructrice et une culture de destruction se sont enracinées dans notre société ? Pourquoi ne pas saisir cette occasion pour reconsidérer notre système éducatif, notre programme, ainsi que le discours religieux, médiatique et culturel qui place notre jeunesse en constante confrontation avec le monde ? »