Interdits dans leur pays, ils rappellent ce qu’est la brutalité d’État
La séance de clôture du Festival de Cannes a donné à voir une actrice et un réalisateur qui ont dû quitter leur pays. La magnifique actrice iranienne Zar Amir Ebrahimi a rappelé son pays avec émotion, en farsi. Un pays qu’elle a dû quitter, où tous les films dans lesquels elle apparaissait, ont été bannis des écrans. Un scandale, dont elle a toujours nié la réalité, est à l’origine de cette interdiction.
Elle a tenu à mentionner ses amis et amies, surtout des femmes qui comme elle, pour leur sécurité ont dû prendre le chemin de l’exil. Za