Juifs et dommages collatéraux, Michèle Mazel
Terre-des-juifs.com
Article mis en ligne le 20 mars 2022
Au lendemain de l’attentat sanglant contre la synagogue de la rue Copernic à Paris en 1980, Raymond Barre, qui était alors Premier ministre s’était exclamé : « Cet attentat odieux voulait frapper les Israélites qui se rendaient à la synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic. »
Les perpétrateurs d’attentats, c’est bien connu, ne se soucient guère de dégâts collatéraux infligés aux personnes ou aux structures situées à proximité. Ils ne sont hélas pas les seuls.