Emmanuel Macron aime les « bad boys », il le démontre depuis longtemps, en chair, en os et en médias. Est-ce pour cela qu’il s’est tant investi dans la libération de Ramy Shaath qui, lui, s’investit depuis toujours dans l’islam radical version Frères musulmans ?
Cette hypothèse devrait paraître invraisemblable pour le Président d’un pays qui concentre près de 44 % des attentats islamistes et 42 % des victimes en Europe, car les services de renseignements ont établi depuis longtemps le rôle prépondérant des Frères dans le passage à l’acte des djihadistes.