Dans la sombre recherche menée par les historiens et les universitaires pour identifier les premiers exemples de négation de la Shoah d’après-guerre, le fardeau de la culpabilité est habituellement attribué aux fascistes, antisémites et personnalités d’extrême-droite de France, de Suède et des États-Unis.
Cependant, comme le défend un nouveau livre, cette approche omet le rôle central joué par les sympathisants nazis en Grande-Bretagne, à la fois pendant et juste après la Seconde Guerre mondiale, concernant l’élaboration d’un « modèle » dont s’inspirent depuis lors ceux qui cherchent à nier l’existence du plus grand crime de l’Histoire.
La négation de la Shoah aurait débuté au Royaume Uni, pas en France
Times of Israel en français | ROBERT PHILPOT
Article mis en ligne le 5 avril 2021