La Tunisie, l’Egypte, le Yémen, la Libye, Bahrein, la Syrie ont été tour à tour pris dans un tourbillon qui changera la face du Moyen-Orient pour le meilleur et pour le pire
« Pour le Moyen-Orient, ce fut une opportunité manquée de faire les premiers pas vers la liberté et la démocratie. L’Occident a choisi d’être un interlocuteur silencieux ». Ainsi parle le prix Nobel de la paix Mohamed ElBaradei.
« Cela n’a pas aidé les printemps arabes » ajoute cette figure de l’opposition libérale égyptienne, dix ans après le déclenchement en Tunisie du premier des soulèvements populaires de la région, à l’aube des années 2010.
Printemps arabes : comment l’Occident a raté son rendez-vous avec l’Histoire
Times of Israël en français | AFP
Article mis en ligne le 8 décembre 2020