Si l’on en croit des témoignages récents, un acte grave de violence aurait pu être évité si un agent de sécurité n’avait pas craint d’être qualifié de « raciste ». Cet incident soulève des questions sur la capacité de l’Occident à se protéger contre les attentats djihadistes.
L’acte de violence en question n’est autre que l’attentat-suicide perpétré en Angleterre lors d’un concert donné le 22 mai 2017 par la chanteuse américaine Ariana Grande à la Manchester Arena et qui a fait 22 morts et plus de 800 blessés.
L’auteur de l’attentat, Salman Ramadan Abedi, 22 ans, était né à Manchester d’un couple de réfugiés islamistes qui venaient d’arriver de Libye.
L’accusation de racisme, une crainte qui peut s’avérer fatale
par Daniel Pipes Critic (UK)
Article mis en ligne le 11 novembre 2020