Tout, sauf une confrontation militaire, doit être fait pour dissuader Erdogan d’établir une barrière en diagonale à travers la Méditerranée, empêchant Chypre, l’Égypte et Israël de connecter leurs infrastructures gazières à la Grèce et donc à l’Europe.
Un accord de cessez-le-feu en Libye, couplé à un embargo sur les armes, a été conclu lors du sommet de Berlin le 19 janvier 2019. Il reste à voir s’il peut tenir. La Turquie et la Russie ont joué un rôle majeur dans ce résultat, bien que cela ne signale pas le soutien russe aux plans d’Erdogan en Méditerranée orientale. Plus précisément, la Russie n’a pas approuvé le protocole d’accord d’Erdogan avec le « gouvernement d’accord national » à Tripoli (27 novembre) concernant l’extension des frontières de la ZEE de la Turquie à travers la Méditerrané
La lutte pour la Méditerranée orientale : le rôle d’Israël après le sommet de Berlin sur la Libye
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Article mis en ligne le 2 février 2020