Mahmoud Abbas. Président du Fatah et de l’Autorité palestinienne condamnait le 14 novembre 2015 les attentats de Paris. Pourtant, depuis des années ses relais deversent des immondices au quotidien contre Israë l et les Juifs, incitant à la haine et au terrorisme et continuent à le faire. Avec pour résultat des morts comme ceux qui ont été assasinés le vendredi 19 novembre. Une incitation qui fonctionne grâce aux deniers des contribuables de pays donateurs dont la France qui laissent faire ce terrorisme palestinien. Allant même jusqu’à encenser Abbas et ses sbires que ce soit à Matignon, l’Élysée ou la Mairie de Paris.
Vendredi 19 novembre 2015 quatre Israéliens et un jeune Juif américain assassinés dans deux attaques terroristes palestiniennes
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Dans la foulée des attentats terroristes qui ont frappé la France, Libération publiait le 14 novembre 2015 ce communiqué : « Le président Mahmoud Abbas condamne fermement les attaques terroristes qui ont eu lieu à Paris et exprime sa solidarité et sa compassion avec le gouvernement et le peuple français face au terrorisme  »....Le président Abbas insiste sur « la nécessité pour la communauté internationale de s’unir pour faire face à ces attaques terroristes graves qui participent à la montée des tensions partout ».
Pourtant Fatah ou Autorité palestinienne continuent quotidiennement à désigner Juifs et Israéliens à la vindicte palestinienne, allant dernièrement jusqu’à accuser l’État hébreu d’avoir été derrière les attentats de Paris, de Beyrouth, ou celui perpétré contre l’avion transportant des Russes. Les exemples de ces appels au meurtre et au terrorisme sont légion. En voici d’autres.
Le 27 octobre un responsible du Fatah, Tawfiq Tirawi, exprimait sa fierté en parlant de son fils de deux ans à la télévision offcielle palestinienne qui dépend directement de Mahmoud Abbas. Car ce bambin, disait-il, sait chanter une chanson qui parle d’un “martyr accompagné à son mariage†- avec les vierges du Paradis – ainsi que ces paroles : “Papa, achète-moi une mitraillette et une carabine pour que je puisse vaincre Israë l et les Sionistes†, ce qui montre, selon son père, son attachement à sa patrie…
Le 11 novembre 2015 le site de “la Commission de l’Information et de la Culture du Fatah†de Mahoud Abbas publiait une caricature dans laquelle les dirigeants israéliens sont comparés à des nazis...
Le 12 novembre un membre du Fatah, Jamal Muhaisen, déclarait que “les Palestiniens ont le droit de tuer des Israéliens†. C’était au cours d’une cérémonie en l’honneur de Muhannad Halabi, un terroriste qui assasssinait deux civils israéliens, le rabbin Nehemiah Lavi et Aharon Bennett, blessait l’épouse de ce dernier, Adele, et leur fils de deux ans au cours d’une attaque au couteau dans la Vielle Ville de Jérusalem le 3 octobre 2015. Il avait été abattu.
Par ailleurs, un monument a été érigé à sa mémoire, monument dont la forme est celle d’Israë l et des Territoires palestiniens...
Lors de son enterrement le Fatah avait amené de la terre de la mosquée Al-Aqsa pour l’y ensevelir affirmant qu’il était mort pour elle. Le ministre de l’Éducation palestinien avait planté des oliviers y plaçant des signes portant le nom des “martyrs†, Palestiniens tombés lors des attaques terroristes anti-israéliennes.
C’est ce même ministre qui était reçu très chaleureusement par son homologue français lors d’un séminaire franco-palestinien surréaliste qui s’est tenu entre autres à Matignon, en septembre dernier à Paris. On notait alors que “le ministre de l’Éducation français était particulièrement mis en avant et pas uniquement sur la photo. Manuel Valls évoquait, en effet, la « coopération dans le domaine de l’Éducation  » (01.00)... devant une Najat Vallaud-Belkacem radieuse. Qui tweetait des photos de sa rencontre très chaleureuse avec son « homologue  » avec, entre autres, la promesse de construire un Lycée français à Ramallah, de facto capitale palestinienne...†. Ce qui était l’occasion de se pencher sur les ministres palestiniens dont ce Sabri Saidam. On notait qu’en aoà »t 2015 le « ministre  » de l’Éducation et de l’Éducation supérieure palestinien, Sabri Saidam, faisait savoir que seul son ministère était habilité à donner un nom aux écoles et qu’il s’opposerait à ce que l’on change le nom d’écoles rendant hommage à des « symboles nationaux qui ne doivent être dénigrés en rien  » tels Ghassan Kanafani un dirigeant du FPLP. Le Hamas ayant débaptisé une école portant son nom. Il s’opposait aussi à ce qu’une rue portant le nom de Sheik Yassine – fondateur et dirigeant du Hamas- soit débaptisée. Palestinian Media Watch note que vingt-cinq écoles palestiniennes portent le nom de terroristes.....
Concernant l’enseignement palestinien, en juillet 2015 PMW publiait un rapport capital intitulé « l’Éducation de l’Autorité palestinienne, une recette pour la haine et le terrorisme  ». Préfacé par le Syndicat des enseignants israéliens du secondaire, ce rapport montre « que l’Autorité palestinienne apprend à ses enfants à rejeter le droit à l’existence d’Israë l, les encourage à considérer que les Juifs sont mauvais et les pousse à prendre des terroristes assassins comme modèles. Ce rapport expose un monde de diabolisation, d’incitation à la haine que les enfants palestiniens sont invités à adopter. Les enfants méritent d’être éduqués à la paix, mais les enfants palestiniens sont privés d’un avenir de paix et sont les victimes de leurs propres dirigeants  ». La France encourage-t-elle donc ce programme en coopérant avec ce ministère ?
Dans ce rapport on apprend qu’en 2012 Sabri Saidam qui était alors conseiller de Mahmoud Abbas avait déclaré que l’École « doit implanter et soutenir la mémoire palestinienne et soutenir notre idéologie collective  », citant en exemple Abu Ali Iyad, un terroriste ayant perpétré plusieurs attaques terroristes...Il faut, dit-il, « que chaque lionceau – jeune Palestinien – se souvienne de lui  ».
Le 14 novembre 2015 le quotidien officiel palestinien Al-Hayat Al-Jadida donnait en exemple de moralité le terroriste qui a tué deux Israéliens Ya’akov Litman et son fils Netanel, âgé de 18 ans, car il n’avait pas tué la mère et quatre enfants plus jeunes qui étaient dans la voiture – ils ont néanmoins été blessés lors de cette attaque terroriste-. Pourtant l’Autorité palestinienne et le Fatah n’hésitent pas à encenser aussi les terroristes qui tuent femmes et enfants. Plusieurs responsables du Fatah se félicitèrent de l’assassinat de Eitam et Naama Henkin devant leurs quatre enfants le 1er octobre 2015. Le 7 octobre Jamal Muhaisen, membre du Comité central du Fata, qualifiait cet attentat terroriste de “légitime et légal†. La veille Mahmoud Ismail, membre du Comité exécutif de l’OLP, l’avait qualifié de légal, ajoutant que ce type d’assassinat relève du “devoir
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Pour mémoire, Mahmoud Abbas a été reçu à de multiples reprises en chef d’État à l’Elysée, comme en septembre dernier
À cette occasion le Maire de Paris décorait cet “homme de paix....homme d’État exceptionnelâ€