Téhéran développe ses missiles balistiques, alimente les crises périphériques (Syrie, Liban, Yémen…), et se sert du terrorisme pour sauver son programme nucléaire. Le quatrième round de négociations sur le programme nucléaire de l’Iran a pris fin la semaine dernière sans aucune avancée majeure en raison de l’intransigeance de Téhéran et son refus de lâcher du lest, notamment sur les mesures pratiques qu’il avait promis d’entreprendre. La République islamique tergiverse pour gagner du temps, tout en alimentant les crises périphériques au Yémen, en Syrie et au Liban pour s’en servir dans les négociations.