jeudi 7 octobre 2004
Il s’agit de l’homme d’affaires préssenti pour le rachat du paquebot France, Isaac Dahan.
Plutôt que d’apporter des éléments tangibles, le journaliste recueille des témoignages anonymes du style :
« Il a bâti sa puissance financière sur le dos de pas mal d’entre nous ». Comment, par quelles malversations ? On en saura pas plus.
Plus loin, le journaliste décrit l’homme « dur en affaires », qui « n’hésite pas à prendre le temps de faire réclamer le moindre euro à ses créanciers ». Evidemment chez Libé, on laisse courir les créances, c’est bien connu.
La traductrice raconte ensuite que son seul associé « c’est son deuxième hémisphère ». Comme si être indépendant était un crime. Bref, les deux articles sur ce sujet transpire le même antisémitisme à l’ancienne.
Affligeant.
J.P. Katz