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« Les développements en Syrie découlent directement de l’affaiblissement significatif des principaux soutiens d’Assad - la Russie et l’Iran », a déclaré John Kirby La Maison Blanche revendique un rôle majeur dans la chute du régime syrien, établissant un lien direct entre son soutien à Israël et à l’Ukraine et l’incapacité de l’Iran et de la Russie à maintenir Assad au pouvoir. « Les développements en Syrie découlent directement de l’affaiblissement significatif des principaux soutiens d’Assad - la Russie et l’Iran », a déclaré John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, lors d’un point presse. « Cet affaiblissement est directement lié au soutien américain indéfectible à Israël dans sa lutte contre le Hamas et dans les efforts pour obtenir un cessez-le-feu avec le Hezbollah ».
Aujourd’hui (mardi) le 9 kislev est l’anniversaire en date hébraïque d’Eli Cohen, z’l. L’espion israélien exécuté par la Syrie en mai 1965 aurait 100 ans. Sa veuve, Nadia, a raconté au micro d’Arutz7, qu’elle n’a jamais cessé d’espérer pouvoir enterrer son mari en Israël. Désormais, avec le renversement du régime en Syrie, cet espoir prend un nouveau tournant. Nadia explique que le Mossad recherche le lieu de sépulture d’Eli Cohen depuis son exécution, avec l’aide des Américains.
Selon des informations à prendre avec prudence rapportées par le journal saoudien Asharq Al-Awsat, l’accord qui se profilerait entre Israël et le Hamas prévoit un cessez-le-feu de 60 jours et la libération de 30 otages (sur 100) qui répondent aux critères d’urgence humanitaire. Il s’agit soit de personnes âgées soit de personnes dont l’état de santé nécessite une prise en charge urgente. Un otage serait rendu tous les deux jours du cessez-le-feu. Le journal poursuit en citant une source proche des négociations qui estime que la proposition pourrait être adoptée dans les jours qui viennent. Selon cette source, le Hamas garderait les ”otages les plus importants” pour d’autres vagues de libération.
Le Premier ministre Netanyahou a publié ce soir (mardi) un message vidéo dans lequel il tend la main au nouveau régime syrien mais pose un avertissement. ”Nous n’avons pas l’intention d’interférer dans les affaires intérieures de la Syrie, mais nous avons l’intention de faire ce qui est nécessaire pour notre sécurité. A ce titre, j’ai approuvé le bombardement par l’armée de l’air des capacités militaires stratégiques abandonnées par l’armée syrienne afin qu’elles ne tombent pas entre les mains des djihadistes.
Le Premier ministre Netanyahou a publié ce soir (mardi) un message vidéo dans lequel il tend la main au nouveau régime syrien mais pose un avertissement. ”Nous n’avons pas l’intention d’interférer dans les affaires intérieures de la Syrie, mais nous avons l’intention de faire ce qui est nécessaire pour notre sécurité. A ce titre, j’ai approuvé le bombardement par l’armée de l’air des capacités militaires stratégiques abandonnées par l’armée syrienne afin qu’elles ne tombent pas entre les mains des djihadistes. Cela ressemble à ce que l’armée de l’air britannique a fait lorsqu’elle a bombardé la flotte du régime de Vichy, qui coopérait avec les nazis, afin qu’elle ne tombe pas entre les mains des nazis.
L’influence de la Turquie s’étend en Syrie après la chute d’Assad, soulevant des questions sur la prochaine initiative d’Erdogan à l’encontre d’Israël. L’invasion fantasmée d’un membre renégat de l’OTAN
Au vu du succès des rebelles et de la chute du régime d’Assad, le président turc Recep Tayyip Erdogan est -il prêt à mettre à exécution sa menace d’envahir Israël ? Depuis le 7 octobre, la Turquie a durci sa position envers Israël, notamment en rompant ses relations commerciales avec Israël en solidarité avec le Hamas. En juillet, Erdogan a encore intensifié ses propos en menaçant : « Tout comme nous sommes entrés dans le Haut-Karabakh et en Libye, nous ferons la même chose avec Israël. »
La Syrie est libérée du joug de Bachar al-Assad, mais pas retrouvée. Les puissances régionales ont profité de la vacance du pouvoir pour avancer leurs pions sur le territoire syrien : la Turquie au nord en prévision de son affrontement avec les milices armées kurdes et Israël à l’ouest pour « sécuriser » sa frontière au niveau du plateau du Golan annexé depuis 1967. L’armée israélienne a confirmé ce mardi que ses forces « sont stationnées dans la zone tampon » avec la Syrie à la lisière de la partie du plateau du Golan occupée et annexée par Israël, « et aux points de défense près de la frontière » pour « protéger » le pays. Israël a aussi ordonné à son armée de créer une zone sans armes dans le sud de la Syrie, ce mardi.
La pensée dominante ne leur donnait aucune chance, pourtant l’Ukraine et Israël ont changé la donne internationale en affaiblissant durablement la Russie, l’Iran, et en portant un coup fatal à leurs alliés Syriens et du Hezbollah. Aux avants postes de l’Occident, leur combat est le nôtre car ils sont en première ligne face à nos ennemis.L’Ukraine ne pouvait résister, selon la doxa, que quelques mois contre le bulldozer russe. Et pourtant, elle tient tête à l’une des 1ères puissances mondiales. Quant à Israël, selon les chancelleries, il lui était impossible d’en finir avec l’Iran des Mollahs et ses proxys.
L’armée israélienne indique avoir détruit l’essentiel des capacités de l’armée syrienne. Benyamin Netanyahou se dit ouvert à des relations diplomatiques avec le nouveau pouvoir syrien. La chute de Bachar el-Assad a ouvert un nouveau chapitre de la longue guerre d’Israël. Entamée autour de la bande de Gaza par l’attaque terroriste du 7 octobre 2023, elle se prolonge désormais, à des centaines de kilomètres plus au nord, sur le sol syrien, par des bombardements massifs et l’incursion de troupes.
Le régime iranien ne l’avait pas vue venir : la chute d’Assad a été une surprise pour les Gardiens de la Révolution. Désormais, au sein des forces de sécurité, on se renvoie la responsabilité de cet échec qui présage de la chute de l’axe mené par l’Iran tout entier. Un responsable iranien a confié au Telegraph : ”L’ambiance est aux coups réciproques, aux cris, au coups sur les murs et dans les poubelles. Ils s’accusent les uns les autres et personne ne prend la responsabilité. Aucun n’a vu venir la fuite d’Assad car le principe ces dix dernières années était de le maintenir au pouvoir. Pas parce qu’on l’aimaitmais parce qu’on voulait préserver la proximité avec Israël et le Hezbollah”.
« Israël ne permettra pas à une entité terroriste islamique extrémiste de menacer ses frontières et ses citoyens », a affirmé le ministre de la Défense Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a effectué mardi une visite à la base navale de Haïfa, au lendemain de la destruction de la flotte syrienne par les navires lance-missiles de la marine israélienne. Cette visite, menée aux côtés du commandant de la marine, le général David Saar Salama, et du commandant de la base, le général de brigade Eli Socholitzky, intervient dans un contexte de tensions accrues dans la région.
Lors de la cérémonie, le Prof. Benjamini a souligné l’importance de la science pour créer des ponts entre les sociétés et a appelé à ne pas rompre les liens scientifiques, à éviter les boycotts et à protéger la science de la politique. Il a également parlé de Carmel Gat, amie de sa famille, qui faisait partie des otages enlevés à Gaza, brutalement assassinée par le Hamas en octobre dernier, et des otages restant encore aux mains du mouvement terroriste.Le prix a été décerné aux lauréats pour leurs travaux qui aide les scientifiques à effectuer de véritables découvertes tout en limitant le nombre de fausses découvertes (False Discoveries).
Cette déclaration marque un tournant majeur dans la position iranienne en Syrie, où Téhéran était jusqu’à présent l’un des principaux soutiens du régime Assad. Selon des médias iraniens, une réunion à huis clos s’est tenue ce mardi au Parlement iranien avec le commandant des Gardiens de la Révolution, Hossein Salami, et d’autres hauts responsables, dont un officier supérieur de la Force Qods. Ahmad Naderi, membre de la présidence du Conseil islamique du Parlement iranien, a révélé les détails de cette rencontre.
Le réseau libanais « Al-Mayadeen », affilié au Hezbollah, a rapporté que « des chars de Tsahal ont traversé Quneitra dans la zone tampon à la frontière israélo-syrienne ». Selon le rapport, « Tsahal a pris position dans la campagne au sud de Damas ». » – à environ 20 kilomètres de la capitale Le réseau libanais « Al-Mayadeen », affilié au Hezbollah, a rapporté ce soir (mardi) que « des chars de Tsahal ont traversé Quneitra dans la zone tampon à la frontière israélo-syrienne et ont avancé jusqu’à la périphérie de la campagne de Damas ».
Les victimes ont été tuées « près de Ain Issa, au nord de Raqa, dans les zones contrôlées par l’administration autonome kurde », a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’homme Onze civils, tous membres d’une même famille, dont six enfants, ont été tués dans une frappe de drone turc visant une maison dans un village du nord de la Syrie, en zone sous administration kurde, a indiqué lundi une ONG. Les victimes ont été tuées « près de Ain Issa, au nord de Raqa, dans les zones contrôlées par l’administration autonome kurde », a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).
Le Moyen-Orient en pleine mutation : l’effondrement du régime Assad, une étape clé selon Netanyahou Lors d’une conférence de presse exceptionnelle tenue à Jérusalem ce lundi soir, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a décrit la chute du régime syrien comme un tournant majeur dans l’histoire récente de la région. Selon lui, cet événement marque « un chapitre dramatique » pour le Moyen-Orient, mettant fin à 54 années de domination d’Assad sur la Syrie.
Réfugié à Moscou ou pas : le Kremlin lâche déjà son ex-obligé Bachar Alors ?-Assad Fidèle alliée de la dynastie Assad depuis l’époque soviétique, Moscou a soutenu militairement le régime de Bachar al-Assad depuis 2015, en bombardant les positions de ses adversaires, et en participant à des opérations terrestres, via son armée régulière et les mercenaires du groupe Wagner. Après avoir, sans succès, – en raison de son déploiement en Ukraine – tenté d’arrêter les rebelles, Moscou a revu sa position pour tenter de sauver ses bases militaires en Syrie.
« 431 jours de la plus terrible violation des droits humains imaginable », a déclaré le président israélien Lors d’une conférence d’urgence tenue mardi à la résidence du président au sujet l’état de santé des otages retenus dans la bande de Gaza depuis maintenant 431 jours, de dures preuves ont été révélées sur les conditions de captivité et le manque de soins médicaux. Le président de l’État Isaac Herzog a déclaré que les otages couraient « un grave danger pour leur vie » et a appelé à une action urgente pour les libérer.
Le journal qatari Al-Araby Al-Jadeed fait part d’avancées dans les négociations pour la libération des otages. D’après des sources citées dans ce journal, les parties auraient commencé à échanger des noms et quatre Israélo-américains feraient partie des otages libérés. Parmi les 100 otages, ceux qui possèdent la nationalité américaine sont Idan Alexander, Omer Neutra (z’l), Sagi Dekel Hen, Itay Hen, Judy Weinstein, Hagay et Gadi Weinstein et Keith Segal. ”L’Egypte, le Qatar, la Turquie et les Etats-Unis supervisent les négociations”, est-il précisé.
Durant le week-end, selon nos informations, le dictateur serait parti seul, de son côté, vers la Russie, ses cousins et proches auraient gagné le Liban, son frère, Maher, le chef de la IVe Division, demeurant introuvable. Après un quart de siècle au pouvoir et treize années de guerre à ses opposants qui ont fini par le renverser, Bachar el-Assad a quitté la Syrie samedi soir, seul, sans même prévenir ses proches, selon les informations recueillies par Le Figaro.