A l’heure où tous les médias et les hommes politiques occidentaux évoquent la guerre en Ukraine, les exactions du régime iranien, les évènements sur la planète semblent indiquer qu’il y a de bons dictateurs et d’autres qui ne le sont pas. Le maître de Damas n’aura pas à suivre un chemin de croix et ne sera pas crucifié. C’est la rumeur qui bruisse dans diverses chancelleries. En 2011, la plupart des pays arabes avaient rompu avec le régime, sauf quelques-uns (Oman, Qatar). Les signaux de reprise se font récemment moins rares à travers des contacts entre pays de la Ligue arabe, Turquie, Russie et le dirigeant syrien.
Bachar Al Assad, le come back
par Francis MORITZ
Article mis en ligne le 14 janvier 2023