Après la recapture par l’Ukraine de cette ville sous occupation russe, un responsable juif craint d’être poursuivi pour avoir autorisé des soldats ennemis à prier à la synagogue
Quand les troupes russes avaient franchi la frontière ukrainienne, au mois de mars, des milliers de personnes avaient fui les villes qui se trouveraient immanquablement sur le chemin des envahisseurs. Mais à Kherson, ville portuaire du sud du pays présentant une forte valeur stratégique pour les Russes, le rabbin Yosef Itzhak Wolff, pour sa part, avait décidé de rester.
Une décision qui n’avait guère été surprenante de la part d’un rabbin appartenant au mouvement ‘Habad-Loubavitch
Dans Kherson libérée, des leaders juifs sont accusés de collaboration avec la Russie
Times of Israel en français | DAVID I. KLEIN
Article mis en ligne le 12 décembre 2022