NDLR : Il ne s’agit pas pour nous de nous réjouir des malheurs des Tunisiens mais de relever la politique défaillante d’un président qui s’obstine à défendre les thèses palestiniennes en se privant des avantages conférés par les pays occidentaux. Il a choisi l’extrémisme islamiste plutôt que la voie de la raison marocaine. L’honneur est certes sauf mais le ventre des Tunisiens est vide. Cet article d’une courageuse journaliste tunisienne en dit long sur l’entêtement d’un dirigeant qui a chaussé les sabots d’un dictateur