Le Premier ministre s’envole mardi après-midi pour Washongton pour y rencontrer le président Joe Biden. A l’ordre du jour principal, le dossier iranien mais sans doute également la situation sécuritaire aux frontières du pays ainsi que le volet « palestinien » que l’Administration démocrate voudrait voir avancer, ne serait-ce que pour montrer un acquis sur le plan de la politique étrangère après le fiasco afghan.
En arrivant à l’aéroport Ben-Gourion, Naftali Benett aura droit à un « comité d’accueil » de la part de présidents de conseils régionaux et locaux de Judée-Samarie qui organisaient une petite manifestation pour protester contre la politique de construction pratiquée par le Premier ministre et lui dire qu’il n’a pas de mandat pour décréter un quelconque gel de la construction juive au cas où le président américain le lui demandait comme « geste de mise en confiance » face à l’Autorité Palestinienne