Le 16 juillet 1995, le président Jacques Chirac admettait la responsabilité de la France dans la déportation et l’extermination de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Un discours historique pour un geste sans précédent.
« Reconnaître les fautes du passé […] c’est défendre une idée de l’Homme, de sa liberté et de sa dignité. »
En 1995, Jacques Chirac, fraîchement élu à la présidence, admettait la responsabilité de la France dans la déportation et l’extermination l’anéantissement de près de 76 000 des Juifs qui y vivaient. Pour la première fois, un Président de la République reconnaissait la responsabilité de l’État français dans la déportation de Juifs sous Vichy.
Rafle du Vél d’Hiv, Chirac reconnaît la responsabilité de la France
INA — Institut National de l’Audiovisuel
Article mis en ligne le 12 juillet 2020