Séquestrés chez eux en 2017, les époux Pinto et leur fils ont été confrontés mercredi à leurs agresseurs présumés. Ils se battent pour faire reconnaître la circonstance aggravante d’antisémitisme.
L’attente a été longue, trop longue. Mercredi matin à Bobigny (Seine-Saint-Denis), Roger et Mireille Pinto, un couple de retraités, et leur fils David, ligotés et séquestrés durant plusieurs heures il y a un an et demi, ont enfin pu raconter leur calvaire à la juge d’instruction. Ils ont relaté cette journée du 8 septembre 2017 au cours de laquelle trois cambrioleurs munis d’un tournevis, d’un couteau et de menottes ont pénétré dans leur pavillon de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis)
Famille juive agressée à Livry-Gargan : les victimes veulent que la justice retienne le caractère antisémite
Europe-israel
Article mis en ligne le 9 avril 2019