Lettre ouverte à Finkielkraut
Catherine Stora | Danilette
Article mis en ligne le 4 mars 2019
Cher Finkie,
J’ai appris ce qui t’est arrivé il y a dix jours, il parait que le Président de la République t’a téléphoné le soir même pour te manifester son soutien et te témoigner toute sa sympathie après l’attaque que tu as subie.
Bin mon pauvre vieux… Encore heureux que tu n’aies pas pris de coups !
Tu sais, ton fils a raison, il faut absolument que tu arrêtes de jouer les Socrate se baladant sur la place publique pour prendre le pouls de la populace et se frotter à ses concitoyens en prenant part au débat public. C’est dangereux, tu sais. Paris n’est pas Athènes, Paris n’est plus ce qu’il était.