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Les Houthis ont annoncé aujourd’hui (mercredi) la libération de l’équipage du Galaxy Leader, un cargo qu’ils avaient pris d’assaut au mois de novembre 2023, en Mer Rouge. Aucun de des membres de l’équipage n’est israélien mais le navire appartient à un Israélien, Ramy Unger. Il battait le pavillon des Bahamas, arrivait de Port Saïd en Egypte pour rejoindre l’Inde. Dès le début de la guerre à Gaza, les Houthis avaient menacé d’attaquer des navires battant pavillon israélien en Mer Rouge, que ce soit des navires affrétées par des sociétés israéliennes ou leur appartenant.
Comme chaque année, le Crif publie le rapport annuel sur les chiffres de l’antisémitisme en France établi par le Service de Protection de la Communauté Juive (SPCJ) sur la base des chiffres recensés conjointement entre le SPCJ et le ministère de l’Intérieur. Un nombre historique d’actes antisémites pour la deuxième année consécutive Pour la deuxième année consécutive, nous faisons face à un nombre historique d’actes antisémites. Pour l’année 2024, 1 570 actes antisémites ont été recensés, contre 1 676 l’année précédente.
Les premiers témoignages d’Emily Damari, Doron Steinbrecher et Romi Gonen, libérées dimanche après une longue captivité sous le Hamas à Gaza, offrent un aperçu bouleversant de leurs conditions de détention. Après 471 jours de confinement, ces femmes racontent une expérience marquée par l’isolement, la peur et la résilience. Selon leurs récits, elles ont été initialement détenues ensemble avant d’être séparées. Elles ont appris leur libération seulement quelques heures avant son exécution. « Nous n’arrivions pas à croire que nous rentrions enfin chez nous », ont-elles confié. Ce moment d’espoir contrastait fortement avec les conditions de leur captivité.
L’opération anti-terroriste Mur de fer à Jénine n’en est qu’à son deuxième jour et déjà l’ONU met en garde. L’UNRWA a annoncé que la ville était devenue quasi-inhabitable en raison des manoeuvres de Tsahal et prétend que 2000 familles ont fui. La rapporteuse spéciale de l’ONU pour les territoires palestiniens, Francesca Albanese, s’est une fois encore distinguée par une déclaration outrancière : »Nous avertissons face au transfert du génocide contre le peuple palestinien de Gaza à la Cisjordanie ».
Le ministre de la Défense, Israël Katz, a dévoilé les noms des candidats au poste de Chef d’Etat-major : il s’agit des généraux Eyal Zamir, Amir Baram et Tamir Yadaï. Eyal Zamir, général de réserve, est aujourd’hui le directeur du ministère de la Défense. Auparavant, il a occupé le poste de vice-chef d’Etat-major. Il était déjà sur la liste des prétendants au poste de Chef d’Etat-major lors de la précédente nomination. Il était, d’ailleurs, le candidat que préférait Binyamin Netanyahou. Mais à l’époque, Yaïr Lapid est Premier ministre et Benny Gantz ministre de la Défense et ils choisissent de nommer Herzi Halévy.
L’aile droite de la coalition Netanyahou reste fermement attachée à la reprise des combats après la trêve de 42 jours Selon des informations exclusives obtenues par Politico, l’administration Trump tout juste mise en place œuvre activement à l’élaboration d’une seconde phase du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Au cœur des priorités : la libération des otages restants et la pérennisation de la trêve, une mission que les officiels eux-mêmes entrevoient comme « longue et difficile ». En parallèle, la normalisation des relations avec l’Arabie Saoudite figure en tête de l’agenda diplomatique américain.
Avec 1.570 actes antisémites recensés en 2024, la France maintient pour la deuxième année consécutive un niveau préoccupant d’incidents antijuifs Malgré une légère baisse de 6,3% par rapport à 2023, ces chiffres restent à un niveau historiquement haut, s’alarme l’institution présidée par Yonathan Arfi. Cette diminution relative ne doit pas masquer la gravité de la situation, qui témoigne d’une persistance inquiétante des actes antisémites dans le pays.
Une attaque au couteau a fait deux victimes mercredi dans le parc Schöntal d’Aschaffenbourg, dans le sud de l’Allemagne. Selon la police, un homme de 41 ans et un petit garçon de 2 ans ont perdu la vie lors de cette agression survenue vers 11h45. Les forces de l’ordre ont rapidement appréhendé le suspect, identifié comme un Afghan âgé de 28 ans. Les motivations de cette attaque restent pour l’instant inconnues.
L’armée israélienne déclare avoir « frappé plus de 10 terroristes » lors d’un raid en cours dans la ville de Jénine, au nord de la Cisjordanie, dans le cadre de l’opération « Mur de fer ».
« Au cours de la journée écoulée, les forces ont touché plus de 10 terroristes », indique l’armée, ajoutant que plusieurs frappes aériennes ont été effectuées et que de nombreux engins explosifs ont été neutralisés.
L’opération se poursuit actuellement.
La libération au compte-gouttes des otages du Hamas a commencé dimanche, avec le retour de trois femmes en Israël. Si la société israélienne se réjouit de ces bonnes nouvelles, on s’inquiète déjà par ailleurs de l’accord de cessez-le-feu trouvé avec les Palestiniens : le Hamas, affaibli, pourrait-il finalement se maintenir à Gaza, où toute une partie de la population criait « Mort aux juifs » hier ? Cinq questions à Gil Mihaely, directeur de la publication.
Des médias délirants dressent un tableau réconfortant de la libération des terroristes palestiniens violents dans une couverture confuse de la prise d’otages La libération de trois otages – Romi Gonen, Doron Steinbrecher et Emily Damari – par le Hamas en échange de 90 prisonniers palestiniens a dominé dimanche l’actualité internationale. Malgré d’autres événements marquants, notamment l’ investiture du président Donald Trump pour son second mandat et la fermeture (brève et décevante) de TikTok aux États-Unis, l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas est resté, sans surprise, au premier plan de la couverture médiatique mondiale.
« N’oublions pas les 94 otages qui meurent à Gaza. Il faut tout faire pour les sauver », a-elle encore écrit Trois jours après sa libération de captivité à Gaza, l’ex-otage Romi Gonen a publié mardi soir son premier message sur son compte Instagram. Dans ce post, accompagné d’une photo d’elle avec sa mère, la jeune femme a exprimé sa gratitude à tous ceux qui se sont battus pour sa libération et qui ont soutenu sa famille. « Il y a une vie après la mort », a-t-elle commencé.
We demand the safe return of ALL citizens who have been taken hostage by the terrorist group Hamas. We will not rest until every hostage is released and returns home safely. You can help
Allô la Croix-Rouge ? On pourrait avoir besoin de votre service Uber, car à part ça, vous n’avez rien fait depuis ces 15 derniers mois. Certaines vieilles traditions ne se perdent jamais. Il y a 80 ans, lors de votre visite au camp de concentration de Theresienstadt, vous n’avez rien remarqué d’anormal. Et en 2023, toujours aucune action pour obtenir des nouvelles ou transmettre des médicaments aux otages israéliens. En 2025, une vraie constance dans la lâcheté et l’inaction. N’oubliez jamais cette image quand viendront les prochaines campagnes de dons pour la Croix-Rouge.
L’Université Harvard a conclu un accord majeur avec des étudiants juifs et le Centre Brandeis pour les droits de l’homme, marquant un tournant dans sa politique de lutte contre l’antisémitisme exacerbé depuis le 7 octobre et le déclenchement de la guerre entre Israël et le Hamas. L’accord prévoit plusieurs mesures concrètes. L’université adopte notamment la définition de l’antisémitisme établie par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA), s’engage à créer un partenariat avec une université israélienne et met en place un nouveau dispositif de traitement des plaintes liées à l’antisémitisme.
D’après le journal saoudien Asharq Al-Awsat, les chefs du Mossad et du Shabak ont convenu lors d’une rencontre avec le chef des renseignements égyptiens que l’Autorité palestinienne contrôlerait le passade de Rafah côté gazaoui, sous la surveillance de l’ONU. Israël a démenti cette information. Le passage de Rafah est situé à la frontière entre l’Egypte et la Bande de Gaza. C’est par là que de nombreuses armes sont entrées dans la Bande de Gaza avant le 7 octobre et son contrôle est fondamental pour la sécurité d’Israël.
La vision de Trump : guerre avec l’Iran, paix avec l’Arabie saoudite et renversement du Hamas Selon Mike Evans, après le retour des otages, le président Donald Trump souhaite trouver une solution globale à la situation à Gaza et au Moyen-Orient. La nouvelle administration devrait mettre en place une initiative de grande envergure impliquant l’Égypte, l’Arabie saoudite et Israël. Ce processus pourrait nécessiter de nouvelles concessions, mais il est peu probable que le Hamas renonce facilement à son pouvoir. La paix avec l’Arabie saoudite pourrait également faire partie de cette vision plus large.
Le mot « hatufim » a battu par des milliers de voix les mots en hébreu signifiant « héroïsme », « autorisé à la publication » - qui précèdent les annonces de décès de soldats de Tsahal À l’occasion de la Journée annuelle de la langue hébraïque, l’Académie de la langue hébraïque a annoncé son mot de 2024 : « otages ». Le mot en hébreu désignant les otages, hatufim, a été choisi par des milliers de votants en ligne, devançant les autres propositions à une très large majorité. Les seconds sont gvura, qui signifie « héroïsme », et hutar lefirsum, une expression signifiant « autorisé à la publication », que l’armée israélienne utilise pour annoncer les soldats tombés au combat.
Mediapart, journal militant en ligne et trotskiste, n’a pas l’habitude de s’embarrasser de la réalité. Aussi devons-nous leur tirer notre chapeau lorsqu’une rarissime fois ils s’appuient sur les faits, concernant un sujet aussi controversé que la cause palestinienne. Tout y est documenté avec rigueur : l’invention de la « cause palestinienne » par Nasser, l’invention du « peuple palestinien », la dissociation artificielle du sionisme et du judaïsme, et la délégitimation d’Israël destinée à faire accepter l’idée que sa destruction apportera de grands bénéfices pour l’humanité.
Les autorités australiennes qui enquêtent sur la vague d’actes antisémites qui sévit depuis plusieurs mois dans le pays s’interrogent sur un financement étranger de ces actions, notamment en provenance de l’Iran. Ces derniers mois, on constate une augmentation drastique des incidents antisémites en Australie, avec notamment des lieux identifiés avec la communauté incendiés, des véhicules brûlés ou encore l’inscription de graffitis antisémites .En tout, en quelques semaines, 166 incidents ont été signalés.